La cinéaste tunisienne Leyla Bouzid a conquis le public cannois hier soir à la clôture de la Semaine de la Critique en marge du Festival de Cannes avec son dernier film « Une histoire d’amour et de désir ».
Six ans après la sortie de son premier long-métrage « A peine j’ouvre les yeux » fortement acclamé par le public et les critiques aussi bien en Tunisie qu’à l’étranger, la jeune réalisatrice Leyla Bouzid (fille du cinéaste Nouri Bouzid) a présenté son deuxième long-métrage de fiction « Une histoire d’amour et de désir » hors-compétition lors de la soirée de clôture de la 60e Semaine de la Critique qui se tient en marge de la 74e édition du Festival de Cannes.
Le film semble avoir séduit aussi bien le public que les professionnels du 7e art à cette première mondiale, puisqu’une standing ovation a été réservée à la cinéaste et à son équipe présents dans la salle.
Le film qui suit la rencontre sensuelle entre un jeune franco-algérien et une jeune tunisienne dans un cours de littérature à Paris, fera partie de la compétition officielle de la 14e édition du Festival francophone d’Angoulême prévue d’avoir lieu du 24 au 29 août 2021.
Fawz Benali
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