Le système fiscal tunisien est qualifié de «complexe, instable et non transparent» par deux éminents économistes. Par Khémaies Krimi
Étiquette : évasion fiscale
La Loi de Finance 2018 va-t-elle encourager l’évasion fiscale ?
L’année 2018 risque d’accentuer l’injustice sociale, l’iniquité fiscale, la disparité des pouvoirs d’achat et le surendettement extérieur, les malédictions de l’économie tunisienne. Par Mohamed Chawki Abid *
Tunisie : Hauts risques de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme
Un rapport de la Banque centrale de Tunisie (BCT) juge les risques de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme très élevés en Tunisie.
Selon Attessia: Nabil Karoui bientôt devant le pôle judiciaire financier
Nabil Karoui aurait légué toutes ses actions de Nessma TV à son frère Ghazi et à son partenaire Tarek Ben Ammar.
Tunisie : Jeu de cache-cash, jeu de cache-crash
L’économie tunisienne, très mal en point, souffre de deux autres maux, qui risquent de saper les espoirs de reprise de la croissance : le cache-cash et cache-crash. Par Asef Ben Ammar *
I Watch : Ghazi Karoui et Amine Mtiraoui devant la justice
L’organisation I Watch a porté plainte, pour diffamation et insultes, contre Ghazi Karoui, le patron de Nessma TV, et son chroniqueur Amine Mtiraoui.
Loi de finances 2017 : Les réserves des chambres mixtes
Les dispositions de la loi de finances 2017 n’ont pas cessé d’alimenter les commentaires et les critiques des opérateurs économiques en Tunisie.
Les médecins tunisiens brillent à l’étranger
Parfois décriés dans leur propre pays, les médecins tunisiens brillent souvent à l’étranger et beaucoup sont tentés de s’expatrier. Par Dr Moez Ben Salem *
Tunisie : Ravages de la corruption, tragédie du gouvernement
Une charte pour se donner bonne conscience. La lutte contre la corruption en Tunisie butte contre une administration récalcitrante, un faible engagement des politiques et un manque de crédibilité de la justice. Par Yassine Essid
Tunisie : Que reste-t-il de la Loi de Finances 2017?
En Tunisie, on n’ose pas taxer le fraudeur fiscal de criminel. Pire encore : c’est lui qui impose sa loi à l’Assemblée et au Gouvernement. Par Mohamed Chawki Abid *