Ils s’appellent Seïfeddine Makhlouf, Nabil Karoui, Rached Ghannouchi et Hichem Mechichi et ils se sont mobilisés corps et âme pour faire passer le dangereux projet d’amendement du décret-loi 116 du 2 novembre 2011 relatif à la communication audiovisuelle. Si ce projet est adopté, la Tunisie deviendra le paradis du blanchiment d’argent dans l’audiovisuel et la...
Étiquette : Rached Ghannouchi
Hichem Mechichi : une marionnette aux mains de l’«alliance du mal»
Dire que le chef du gouvernement Hichem Mechichi nous a laissés sur notre faim, lors de son premier entretien télévisé, dimanche soir, 18 octobre 2020, sur la chaîne Watania 1, n’exprime pas exactement ce que beaucoup de nous ont ressenti en écoutant hier ses réponses soporifiques. Nous avons été plutôt déçus, pas vraiment surpris car...
Kamel Labidi : «Al-Karama propose un projet de loi scélérat»
L’amendement du décret-loi 116 du 2 novembre 2011 proposé par la coalition islamo-populiste Al-Karama ne cesse de faire couler beaucoup d’encre. Kamel Labidi, journaliste indépendant, militant des droits humains et cheville ouvrière du décret-loi 116 relatif à la régulation audiovisuelle en 2011, est revenu dans une interview publiée ce dimanche 18 octobre 2020 dans les...
Tunisie – Audiovisuel : L’amendement des voyous ne doit pas passer
Le projet d’amendement du décret-loi n°116 du 2 novembre 2011 relatif à la liberté de la communication audiovisuelle et portant création de la Haica ne doit pas passer. Présenté par Al-Karama (la coalition des «Frerèt», ce ramassis de ploucs complexés conduit par l’agitateur Seifeddine Makhlouf) et soutenu vigoureusement par l’alliance islamo-affairiste, ce projet menace la...
Rached Ghannouchi n’a pas fini de diviser Ennahdha, il l’enterrera bientôt…
L’inamovible président du parti islamiste Ennahdha, à la tête du mouvement islamiste tunisien depuis bientôt un demi-siècle, n’est pas prêt à passer le témoin. À 79 ans, accomplis le 22 juin dernier, Rached Ghannouchi regarde l’avenir avec des ambitions renouvelées, au risque de faire imploser son parti où beaucoup craignent qu’il soit enterré… avec lui....
Rached Ghannouchi laisse entendre qu’il peut se présenter, de nouveau, à la présidence d’Ennahdha
Commentant la deuxième lettre du « groupe des 100 Nahdhaouis », adressée à l’ensemble des membres du parti Ennahdha, Rached Ghannouchi n’a pas annoncé qu’il ne se présentera pas pour un nouveau mandat à la tête d’Ennahdha. Au contraire, il a laissé entendre que cela restait envisageable.
Rached Ghannouchi souhaiterait se présenter à l’élection présidentielle de 2024, selon «le groupe des 100 Nahdhaouis»
Le groupe des 100 Nahdhaouis, qui a adressé, il y a un mois, une lettre à Rached Ghannouchi pour l’appeler à ne pas présenter une nouvelle candidature pour présider le parti Ennahdha, affirme que le leader islamiste souhaiterait se présenter à l’élection présidentielle de 2024.
Tunisie : Tentative de passage en force de l’amendement du décret organisant le secteur audiovisuel
Dans les circonstances actuelles, il a été convenu de n’organiser aucune séance plénière que dans un cas d’extrême urgence mais lors de la tenue de la cellule de crise de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), lundi soir, 12 octobre 2020, le bureau de l’Assemblée a été convoqué dans le but de programmer une séance...
Du banditisme de François Burgat, serviteur zélé de Ckeikha Moza et porteur de valise des islamistes
Dans ce pamphlet, l’auteur réagit aux méthodes de François Burgat, le chercheur français spécialisé dans la défense de l’islam politique et l’intimidation de ses collègues qui s’y opposent, en vendant ses services au tandem constitué par la Turquie et le Qatar, protecteurs et bailleurs de fonds de l’Organisation internationale des Frères musulmans. Par Mohamed Chérif...
Chedly Mamoghli : En Tunisie, les hors-la-loi sont intouchables
Dans un post publié hier, samedi 10 octobre 2020, sur sa page Facebook, et que nous reproduisons ci-dessous, le juriste Chedly Mamoghli déplore l’impunité dont bénéficient beaucoup de hors-la-loi en Tunisie profitant du laisser-faire d’un Etat faible et du laxisme d’une justice sinon complice, du moins indulgente.