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Les factions à la solde de la Turquie assoiffent les Syriens à Hassaké

Sa Sainteté Efrem II, patriarche des syriaques orthodoxes, saisit le secrétaire général des Nations Unies Antonio Guterres au sujet de la situation dans la ville de Hassaké, au nord-est de la Syrie, assoiffée par la Turquie qui a coupé l’approvisionnement en eau depuis plus de 10 jours, en pleine canicule de l’été.

Une méthode inacceptable surtout venant du nouveau «Calife» des musulmans, le président de la Turquie, Recep Tayyip Erdogan.

Pour le chef des Frères musulmans, un homme brutal et dangereusement imprévisible, la fin justifie les moyens même en assoiffant les populations civiles.

Fac-similé de la lettre de Sa Sainteté Efrem II à Antonio Guterres.

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