Agents de la garde présidentielle agressés par Makhlouf à l’Assemblée : Le Syndicat entre en ligne

«Nous demandons à la présidence de la république de soutenir nos collègues chargés de la sécurité du parlement et de prendre les mesures légales pour empêcher que de tels abus ne se reproduisent», a indiqué le Syndicat des agents et cadres de la sécurité du président de la république et des personnalités officielles, tout en dénonçant l’agression verbale d’agents de la garde présidentielle par le député Al-Karama Seifeddine Makhlouf.

Après avoir agressé la garde présidentielle au parlement, Makhlouf qualifie Moussi de «microbe» et de «crapule»

«Je publie cette vidéo pour vous parler du microbe appelé Abir Moussi», a cru bon dire Seifeddine Makhlouf, président du bloc islamiste Al-Karama, qui a également qualifié sa collègue du Parti destourien libre (PDL), de «crapule», et ce après les déclarations de la députée, qui a affirmé que l’invité d’Al-Karama, fiché S17, qui a été empêché par des agents de la garde présidentielle d’accéder au parlement, cet après-midi, vendredi 10 juillet 2020, reviendrait des zones des conflits, selon des sources sécuritaires.

Tunisie : Les extrémistes religieux sèment le désordre à l’Assemblée

La présence de députés issus de la nébuleuse extrémiste religieuse, à l’instar de ceux de la coalition Al-Karama, une excroissance du parti islamiste Ennahdha, est un facteur d’instabilité au sein de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et dans le pays d’une façon générale. Ce qui vient de se passer aujourd’hui, vendredi 10 juillet 2020, sous la coupole du Palais du Bardo, nous en donne une nouvelle preuve s’il en est encore besoin. Par Imed Bahri

Kaïs Saïed et la Libye «de» Fayez Sarraj : Est-ce la fin du malentendu ?

Pays voisins condamnés à vivre en complète synergie, la Tunisie et la Libye ne peuvent entretenir des incompréhensions ou des malentendus. La clarté des positions et des intérêts respectifs ne doit laisser la place à aucune ambiguïté, comme celle entretenue, en Tunisie, par le parti Ennahdha et ses dirigeants sur la réalité de la position tunisienne sur la crise libyenne. Par Imed Bahri

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