Dans un post Facebook publié ce matin du lundi 4 janvier 2021, le secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, est revenu sur les pratiques employées, selon lui, par le mouvement Ennahdha, pour tenter d’affaiblir la centrale syndicale.
Il a affirmé, à cet effet, que la stratégie du parti de Rached Ghannouchi consistait «au début» à implanter des organisations centrales parallèles, à l’instar de l’Organisation tunisienne du travail (OTT).
«En même temps, Ennahdha était présent dans d’autres centrales parallèles pour affaiblir l’UGTT, tentait d’infiltrer les structures de l’UGTT et de s’y positionner, fatiguait les syndicats notamment en haussant la barre des revendications pour atteindre le blocage, et portait atteinte à l’UGTT en faisant en sorte que les accords ne soient pas respectés par la coalition gouvernementale, le tout en menant une campagne de diffamation [contre l’UGTT]», a développé M. Tahri.
Et d’assurer qu‘aujourd’hui, les nahdhaouis sont passés à une nouvelle stratégie, basée sur l’implantation d’organes syndicaux parasites dans les secteurs et dans les régions, «même s’il n’existe pas de lien entre eux actuellement» . «C’est ce qui se passe avec l’enseignement, la justice et la santé, par exemple exemple», a-t-il ajouté.
Sami Tahri a, finalement, affirmé que les régimes précédents avaient employé ces mêmes méthodes et qu’ils avaient échoué.
Vous tenez un discours contradictoire et peut convainquant. D’un côté vous dénoncez les pratiques d’Ennahda qui participent à la destruction de notre pays et de l’autre côté vous voulez dialoguer avec eux dans le cadre du pseudo « dialogue national ». Je ne comprends pas très bien votre position.
Encore une premièer médicale dans le monde et c’est en Tunisie avec l’implantation d’organes syndicaux parasites!
Super
Vous tenez un discours contradictoire et peut convainquant. D’un côté vous dénoncez les pratiques d’Ennahda qui participent à la destruction de notre pays et de l’autre côté vous voulez dialoguer avec eux dans le cadre du pseudo « dialogue national ». Je ne comprends pas très bien votre position.