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Étiquette : Sami Tahri

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Tunisie : Pour sortir de son isolement, Kaïs Saïed brise la glace avec l’UGTT

La rencontre d’hier, samedi 15 janvier 2022, entre Kaïs Saïed et Noureddine Taboubi, survenue dans un contexte caractérisé par un grand isolement du président de la république, aussi bien sur le plan intérieur qu’extérieur, traduit une volonté présidentielle de changer d’attitude, d’ouvrir les canaux du dialogue avec les parties qui ne sont pas totalement hermétiques...

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Tunisie : Un non lieu pour Sami Tahri suite à la plainte de Imed Daïmi

La Chambre correctionnelle du Tribunal de première instance de Tunis a décidé un non lieu au profit du porte-parole et secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, suite à la plainte déposée à son encontre par le président de l’observatoire «Raqabah», Imed Daïmi.

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Sami Tahri : «La plainte de Daïmi à mon encontre cible l’UGTT»

Le secrétaire général adjoint et porte-parole de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, a estimé, ce lundi 22 novembre 2021, jour de sa comparution devant la justice, que l’affaire portée contre lui par le président de l’Observatoire «Raqabah», Imed Daïmi, ciblait la centrale syndicale, et pas sa propre personne.

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Noureddine Taboubi : «Non au retour à l’avant-25 juillet»

Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, a assuré hier, dimanche 14 novembre 2021, que la centrale syndicale s’oppose à la reprise des activités de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), suspendue depuis l’annonce des mesures présidentielles exceptionnelles, le 25 juillet dernier et qu’elle appelle à une nouvelle loi électorale...

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Sami Tahri : «Un gouvernement exceptionnel ne peut pas réaliser des réformes»

Commentant les négociations entre le gouvernement tunisien et le Fonds monétaire international (FMI), le secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, a estimé que le gouvernement actuel (nommé dans des conditions politiques exceptionnelles) ne peut réaliser les réformes exigées par le FMI, lesquelles nécessitent 5 à 10 ans.

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