France : Pétition d’intellectuels et d’artistes appelant Macron à œuvrer à un cessez-le-feu immédiat à Gaza

Dans cette lettre ouverte à Emmanuel Macron, intitulée «Monsieur le président, nous vous demandons d’œuvrer avec détermination à un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel à Gaza», plus de 260 intellectuels et artistes réclament des sanctions contre Israël et la reconnaissance d’un Etat palestinien démocra­tique.

Monsieur le président,

Au-delà des 25 000 Gazaouis morts à ce jour, dont 75 % de femmes et enfants.

Au-delà des dizaines de milliers de blessés opérés à même le sol, amputés sans anesthésie, abîmés en leur chair, traumatisés et handicapés à vie.

Au-delà des milliers de disparus dont les corps croupissent sans doute sous les décombres.

Au-delà de la destruction des infrastructures techniques, administratives, sanitaires, sociales, culturelles et cultuelles : immeubles, routes, maisons, hôpitaux, transports, écoles, mosquées, réseaux d’eau et d’électricité, et cimetières.

Au-delà de cette litanie d’horreurs et des images d’apocalypse en provenance de Gaza, sans précédent par leur ampleur dans l’histoire récente du monde.

Au-delà de tout cela, c’est notre silence face à l’entreprise de désintégration de la bande de Gaza – qualifiable de complicité de crime contre l’humanité – qui nous ulcère et qui meurtrit encore plus notre humanité.

Car, à nous faire assister ainsi impuissants à la faillite des valeurs morales qui fondent l’éthique démocratique universelle et le droit international, c’est bien notre propre humanité que l’on assassine !

Nous assistons en direct à une entreprise d’effacement de toute une population, non seulement physiquement mais géographiquement, à l’effacement de sa culture et de sa mémoire. Nous assistons, dans un silence condamnable et complice, à un écocide et un sociocide. D’aucuns s’interrogent même, à l’instar des Nations unies et de nombreuses ONG internationales recon­nues sur la conjecture d’une entreprise génocidaire en cours.

Des plaintes en ce sens ont été déposées à la CPI et à la CIJ, pointant l’Etat israélien pour crimes de guerre, crimes contre l’Humanité, nettoyage ethnique et génocide. Il faut s’attendre à ce que de nouvelles plaintes suivent, qui désigneront les Etats-Unis d’Amérique pour leur soutien actif, militaire et financier, à l’entreprise de destruction en cours ; ainsi que l’Union européenne, dont la France, pour non-assistance à peuple en danger, soutien à crimes de guerre, désinformation, cécité intentionnelle, criminalisation de la dénonciation des crimes en cours, et opposition aux résolutions de l’ONU appelant à un cessez-le-feu. Bref, pour complicité. Les Etats ayant ratifié la Convention sur le génocide, dont la France, sont tenus, par son article premier ainsi que ses articles V et VIII à «prévenir» et «punir» tout acte pouvant s’apparenter à une tentative de génocide par des «sanctions pénales efficaces».

Monsieur le président,

Ni la colonisation, ni les arrestations arbitraires et les emprisonnements d’enfants, ni la torture, le vol des terres et des maisons, ni les murs de séparation, la privation alimentaire et de liberté, les checkpoints et l’humiliation quotidienne, ni l’absence d’horizon ne sont venus à bout des Palestiniens. Malgré les armes de destruction massive de l’armée d’occupation, ni l’aide financière américaine aussi généreuse qu’ininterrompue. Malgré la bienveillance complice de l’Europe et la désinforma­tion. Malgré les trahisons des gouvernements arabes et les promesses jamais tenues de la Communauté internationale.

La résilience de ce peuple atteste qu’il tiendra debout, ferme et déterminé, jusqu’à la réalisation de ses aspirations légitimes.

Il revendique, autant que les Israéliens, la même garantie de paix et de sécurité. Il a droit, autant que les Israéliens, à l’espoir et à un horizon ; à édifier un pays libre et prospère où les citoyens pourraient travailler, gagner leur pain et se façonner un avenir. Elever dignement leurs enfants et leur offrir une vie décente. Construire leurs foyers sans avoir à craindre qu’ils soient détruits à court ou moyen terme sous une avalanche de bombes. Voyager, découvrir le monde. Etablir avec leurs voisins une relation de respect mutuel. Circuler librement sans être soumis à la brutalité d’un militaire à un check-point. Panser, avec leurs voisins, les plaies de soixante-quinze ans d’occupation israélienne, de résistance palestinienne, et de souffrance commune.

Monsieur le président,

Ce que les événements tragiques de ces trois derniers mois démontrent, c’est l’échec cuisant de la communauté internationale à apporter une solution pérenne au drame palestinien. Les Israéliens ne pourront connaître la paix tant que cette solution sera ajournée.

Il est donc grand temps que la France reconnaisse l’Etat palestinien démocratique et souverain, aux frontières définies et internationalement reconnues. Un Etat au sens plein du terme, avec ses aéroports, sa police, ses administrations, son armée ; la liberté de mouvement de ses citoyens ; ses écoles et ses universités.

Cette promesse, tant de fois envisagée par vos prédécesseurs, il est grand temps que vous la teniez. La France, dont la voix a porté comme un phare dans le monde en un passé encore récent, a déjà trop perdu de sa crédibilité. Elle a été disqualifiée, par Israël même, pour promouvoir la paix dans la région. Elle se grandirait par votre reconnaissance solennelle et immédiate de l’Etat palestinien.

Il est également grand temps que la France, l’Europe coupent court à l’impunité de l’Etat israélien : des sanctions politiques, économiques, militaires et financières doivent être appliquées afin que cessent l’occupation, la colonisation, et qu’Israël, créé en 1948 sur une décision de l’ONU, s’engage à respecter ses résolutions restées toutes lettres morte.

Monsieur le président,

Au-delà des 25 000 Gazaouis morts à ce jour, dont 75 % de femmes et enfants.

Au-delà des dizaines de milliers de blessés opérés à même le sol, amputés sans anesthésie, abîmés en leur chair, traumatisés et handicapés à vie.

Au-delà des milliers de disparus dont les corps croupissent sans doute sous les décombres.

Au-delà de la destruction des infrastructures techniques, administratives, sanitaires, sociales, culturelles et cultuelles : immeubles, routes, maisons, hôpitaux, transports, écoles, mosquées, réseaux d’eau et d’électricité, et cimetières.

Au-delà des 2 millions de déplacés sur 2,4, soit 85 % de la population – un nettoyage ethnique selon la définition du droit international.

Au-delà de la pénurie de biens alimentaires de première nécessité et de la famine.

Au-delà de la contamination des eaux et la propagation des maladies infectieuses.

Au-delà de la catastrophe humanitaire et sanitaire qui dépasse l’entendement.

Au-delà de cette litanie d’horreurs et des images d’apocalypse en provenance de Gaza, sans précédent par leur ampleur dans l’histoire récente du monde.

Au-delà de tout cela, c’est notre silence face à l’entreprise de désintégration de la bande de Gaza – qualifiable de complicité de crime contre l’humanité – qui nous ulcère et qui meurtrit encore plus notre humanité.

Car, à nous faire assister ainsi impuissants à la faillite des valeurs morales qui fondent l’éthique démocratique universelle et le droit international, c’est bien notre propre humanité que l’on assassine !

Nous assistons en direct à une entreprise d’effacement de toute une population, non seulement physiquement mais géographiquement, à l’effacement de sa culture et de sa mémoire. Nous assistons, dans un silence condamnable et complice, à un écocide et un sociocide. D’aucuns s’interrogent même, à l’instar des Nations unies et de nombreuses ONG internationales reconnues sur la conjecture d’une entreprise génocidaire en cours.

Des plaintes en ce sens ont été déposées à la CPI et à la CIJ, pointant l’Etat israélien pour crimes de guerre, crimes contre l’Humanité, nettoyage ethnique et génocide. Il faut s’attendre à ce que de nouvelles plaintes suivent, qui désigneront les Etats-Unis d’Amérique pour leur soutien actif, militaire et financier, à l’entreprise de destruction en cours ; ainsi que l’Union européenne, dont la France, pour non-assistance à peuple en danger, soutien à crimes de guerre, désinformation, cécité intentionnelle, criminalisation de la dénonciation des crimes en cours, et opposition aux résolutions de l’ONU appelant à un cessez-le-feu. Bref, pour complicité. Les Etats ayant ratifié la Convention sur le génocide, dont la France, sont tenus, par son article premier ainsi que ses articles V et VIII à « prévenir » et « punir » tout acte pouvant s’apparenter à une tentative de génocide par des « sanctions pénales efficaces ».

Monsieur le président,

Ni la colonisation, ni les arrestations arbitraires et les emprisonnements d’enfants, ni la torture, le vol des terres et des maisons, ni les murs de séparation, la privation alimentaire et de liberté, les checkpoints et l’humiliation quotidienne, ni l’absence d’horizon ne sont venus à bout des Palestiniens. Malgré les armes de destruction massive de l’armée d’occupation, ni l’aide financière américaine aussi généreuse qu’ininterrompue. Malgré la bienveillance complice de l’Europe et la désinforma­tion. Malgré les trahisons des gouvernements arabes et les promesses jamais tenues de la Communauté internationale.

La résilience de ce peuple atteste qu’il tiendra debout, ferme et déterminé, jusqu’à la réalisation de ses aspirations légitimes.

Il revendique, autant que les Israéliens, la même garantie de paix et de sécurité. Il a droit, autant que les Israéliens, à l’espoir et à un horizon ; à édifier un pays libre et prospère où les citoyens pourraient travailler, gagner leur pain et se façonner un avenir. Elever dignement leurs enfants et leur offrir une vie décente. Construire leurs foyers sans avoir à craindre qu’ils soient détruits à court ou moyen terme sous une avalanche de bombes. Voyager, découvrir le monde. Etablir avec leurs voisins une relation de respect mutuel. Circuler librement sans être soumis à la brutalité d’un militaire à un check-point. Panser, avec leurs voisins, les plaies de soixante-quinze ans d’occupation israélienne, de résistance palestinienne, et de souffrance commune.

Monsieur le président,

Ce que les événements tragiques de ces trois derniers mois démontrent, c’est l’échec cuisant de la communauté internationale à apporter une solution pérenne au drame palestinien. Les Israéliens ne pourront connaître la paix tant que cette solution sera ajournée.

Il est donc grand temps que la France reconnaisse l’Etat palestinien démocratique et souverain, aux frontières définies et internationalement reconnues. Un Etat au sens plein du terme, avec ses aéroports, sa police, ses administrations, son armée ; la liberté de mouvement de ses citoyens ; ses écoles et ses universités.

Cette promesse, tant de fois envisagée par vos prédécesseurs, il est grand temps que vous la teniez. La France, dont la voix a porté comme un phare dans le monde en un passé encore récent, a déjà trop perdu de sa crédibilité. Elle a été disqualifiée, par Israël même, pour promouvoir la paix dans la région. Elle se grandirait par votre reconnaissance solennelle et immédiate de l’Etat palestinien.

Il est également grand temps que la France, l’Europe coupent court à l’impunité de l’Etat israélien : des sanctions politiques, économiques, militaires et financières doivent être appliquées afin que cessent l’occupation, la colonisation, et qu’Israël, créé en 1948 sur une décision de l’ONU, s’engage à respecter ses résolutions restées toutes lettres morte.

Monsieur le président,

Il n’y a pas d’autre solution que celle de ces deux peuples vivant côte à côte et coopérant pour leur bien-être respectif, celui de la région et du reste du monde.

Aussi, nous vous demandons solennellement de reconnaître dès aujourd’hui l’Etat démocratique de Palestine.

Nous vous demandons de rompre, définitivement, aux niveaux français et européen, avec la politique d’impunité d’Israël, et de conditionner tout accord d’association à sa cessation de la colonisation et au respect du droit international.

Nous vous demandons d’œuvrer avec détermination à un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel.

Ainsi que d’agir pour la libération des otages israéliens, la libération des prisonniers d’opinion palestiniens, dont Marwan Barghouti – surnommé le Nelson Mandela palestinien – indûment détenu depuis vingt-deux ans, et seul à même d’unir les Palestiniens.

Enfin, d’œuvrer pour le jugement de tous les crimes de guerre commis.

Vous le devez, avec nous, au peuple palestinien.

Vous le devez, avec nous, au peuple israélien.

Premiers signataires : Etienne Balibar, professeur émérite, université Paris-Ouest; Rony Brauman, médecin, ancien président de MSF; Mau­rice Buttin, avocat honoraire et écrivain; René Gallissot, historien, professeur émérite; Vincent Geisser, sociologue et politologue, chercheur CNRS, président du Ciemi (Centre d’information et études sur les migrations internationales); Daniel Junqua, journaliste, vice-président de RSF, ancien directeur du CFPJ; Alain Lipietz, homme politique, ancien député européen Les Verts, ancien directeur de recherche au CNRS; Gustave Massiah, économiste, ancien président d’Attac-France, membre du Conseil international du Forum social mondial; Marguerite Rollinde, chercheur, militante et auteure de nombreux ouvrages; Jacques Testart, biologiste, docteur en sciences, directeur de recherche honoraire Inserm, « père » du premier bébé-éprouvette; Anne Tuaillon, présidente de l’Association France Palestine Solidarité; Nada Yafi, ancienne consule générale de France (Dubaï) et ambassadrice de France (Koweït), directrice de langue et civilisation arabes à l’IMA

Liste complète des signataires : Ahmed Abbes, mathématicien, directeur de recherche ; Saïd Abboudi, AFPS ; Raja Abdelaziz, formatrice français langue étrangère, entrepreneure ; Abdelhalim Abdalmoumni, professeur en sciences économiques ; Mohamed Abdelmoumni, cadre banque et assurance ; Judith Abensour, réalisatrice, enseignante à l’Ensad ; Etienne Adam, syndicaliste ; AFPS, Association France Palestine Solidarité ; Mohamed Akil, professeur émérite ; Livia Alcou, responsable éditoriale ; Jean Alesandri, professeur agrégé ; Juliette Alesandri, enseignante ; Tewfik Allal, militant associatif ; Paul Alliès, professeur émérite à l’université de Montpellier ; Miloudi Alougay, retraité ; Danielle Amadieu, Arche de Lanza del Vasto ; Salma Amensag, cheffe de projets santé et dispositifs médicaux ; Charles Amet, Corsica Palestina ; Catherine Antonelli-Prudhomme, psychanalyste ; Mounir Arbach, directeur de recherche CNRS-Cefrepa ; Joseph Arditi, maître de conférences retraité ; Etienne Balibar, professeur émérite, université de Paris-Ouest ; Antonio Jose Baltazar Condeço, retraité, ancien prisonnier politique au Portugal ; Bernard Barré, BN AFPS, syndicaliste CNT ; Sandra Barrère, chercheuse en littérature comparée ; Michel Barthelemy, retraité ; Tahar Bekri, écrivain ; Solange Bely, professeure, retraitée ; Bachir Ben Barka, universitaire ; Tahar Ben Meftah, universitaire et écrivain ; Abdelaziz Benabderrahman, militant des droits humains ; Libea Bendisari, universitaire retraitée ; Raymond Benhaim, économiste ; Ali Benkirane, expert-comptable, retraité ; Inès Benkirane, actuaire ; Younes Benkirane, écrivain et auteur-compositeur ; Ali Bennani, retraité ; Mounia Bennani-Chraïbi, professeure de science politique ; Ali Bensaad, professeur des universités ; Reda Bensmaia, Brown University ; Roger Berlan, militant des droits humains ; Bernadette Bernou ; Hayat Berrada Bousta, rédactrice de Maroc Réalités ; Yassine Berrada, enseignant ; Sophie Bessis, historienne ; Micheline Bochet-Le Milon, présidente du Gaic (Groupe d’Amitié islamo-chrétien) ; Anne Boirat, encadreur ; Patrick Boisson, animateur association aides aux salariés, retraité ; Pierre Bordone, ingénieur architecte ; Sylvie Borredon, membre de la LDH ; Myriam Bothuyne ; Bernadette Bouchard, altermondialiste ; Aziza Boucherit, maîtresse de conférences HDR, sciences du langage ; Frank Braemer, docteur émérite CNRS ; Rony Brauman, médecin, ancien président de MSF ; Gérard Bricet, paysan retraité, ancien président de la Fédération régionale des MJC Bretagne ; Bérangère Briffaux, enseignante ; Kenneth Brown, professeur, fondateur de la revue « Mediterraneans » ; Jean-Paul Bruckert, historien ; Maurice Buttin, avocat honoraire ; Marie-Paule Candillier, psychologue et Cada ; Leila Chadli, adjoint administratif ; Marie-Hélène Chambrin, militante associative ; Sylviane Champ, professeur lettres classiques, retraitée ; Anne Chapotot-Godmet, présidente VPJM (Varois pour la Paix et la Justice en Méditerranée) ; Guy Chapouillié, professeur émérite, cinéaste ; Rosine Charlut-Borghi, Ensemble ; Marion Charpier, docteure en histoire et civilisation ; Claude Chennevière, médecin retraité ; Chad Chenouga, réalisateur de film et comédien ; Chantal Chevetzoff, enseignante retraitée ; Aboubakr Chraïbi, universitaire ; Marianne Colombier, artiste auteure ; Maya Condeco, éducatrice spécialisée ; Nina Condeço, professeure des écoles ; Anna Cortet, psychologue clinicienne et psychothérapeute ; Geneviève Coudrais, avocate retraitée ; Pierre Cours-Salies, sociologue, professeur émérite ; Pascal Crusseley, menuisier syndicaliste CGT ; Alexis Cukier, maître de conférences en philosophie ; CVR-PO, Comité de Vigilance pour une Paix Réelle au Proche-Orient ; Ignace Dalle, journaliste ; Lucille Daumas, retraitée de l’enseignement ; Jean-Michel Delarbre, Comité National de la LDH, cofondateur du Réseau Education Sans Frontières ; Christian Delarue, altermondialiste ; Marie-Thérèse Delboulbes, journaliste, retraitée ; Catherine Delpeuch, enseignante, docteur en musicologie ; Christophe Depreitère, chargé des services généraux à l’Agence du Service civique ; Michèle Deslandes, documentaliste, retraitée ; Mohamed Djaffar, citoyen retraité ; Etienne Doussain, Ensemble ; Bernard Dreano, responsable associatif ; Gérad Dupuy ; Mouna El Banna, rédactrice en chef, RFI Radio France internationale ; Ali El Baz, militant associatif ; Dr. Majid El Ghemmaz, professeur, militant associatif ; Mohamed El Haim, pharmacien retraité ; Marie José El Haim, chirurgien-dentiste retraité ; Amanou El Hila, informaticien, chef d’entreprise ; Mohamed Elaouini, journaliste, militant des droits humains ; Didier Epsztajn, animateur ; José Espinosa, ancien conseiller de Paris ; Christian Eypper, délégué régional LDH ; Fatiha Fadel, citoyenne ; Sylvie Farage, retraitée ; Marc Faure, metteur en scène ; Maurice Fay, pédagogue retraité ; Francoise Fenigchteïn, retraitée, militante antiracisme ; Touriya Fili-Tullon, MCF littératures postcoloniales et litt. comparée, codirectrice de Recherche et de Collection, Éditions UGA ; Olivier Fillieule, Professeur de sociologie politique, Unil ; Jacques Fontaine, universitaire, Ensemble ; Jean-Marie Fouquer, enseignant retraité, Ensemble ; Marie-Pierre Fournier, enseignante retraitée, militante associative ; Nathalie Fremy, ingénieure en génie côtier ; Bernard Friot, professeur émérite de sociologie ; Marie-Dominique Frontini, retraitée de l’Education nationale ; Claudette Fyot, retraitée ; René Gallissot, historien, professeur émérite ; Carole Ganne, enseignante ; Catherine Gaumont, Attac Paris ; Jean-Pierre Geeraert, médecin ; Vincent Geisser, chercheur CNRS, président du Ciemi ; Robert Germain, mineur retraité ; Elghazali Ghezal, médecin urgentiste APHP ; Thierry Girard, enseignant retraité, militant syndical et associatif ; Elisabeth Giudicelli, médecin ; Bernard Gratuit, directeur de recherche au CNRS ; Allain Graux, écrivain voyageur ; Alain Gresh, journaliste, Orient XXI ; Jean-Louis Griveau, citoyen ; Jean-Jacques Grunspan, entrepreneur industriel ; Daniel Guerrier, journaliste honoraire ; François-Régis Guillaume, militant pour la paix ; Hassan Hadj Nassar, ancien exilé politique marocain ; Fatma Hamdi, enseignante chercheur universitaire, retraitée ; Amina Hamdis, citoyenne ; Bertrand Heilbronn, président d’honneur de l’AFPS ; Irma Helou, conteuse ; Stanislas Hutin, retraité ; Latifa Imane, consultante ; Inseme A Manca ; Bernard Jacquin, retraité ; Brigitte Jeannot, avocate ; Kamilya Jubrane, artiste musicienne ; Daniel Junqua, journaliste retraité ; Nicole Kahn, Union juive des Français pour la Paix ; Dr Lamya Khalidi, chargée de recherche au CNRS, Cepam ; Catherine Khripounoff, praticienne hospitalière, retraitée ; Claudia Koonz, professeur d’histoire, Duke University ; Marie-Odile Lamirand, AESH, retraitée ; Bernard Lamizet, ancien professeur des universités, Sciences-Po ; Olivier Le Cour Grand Maison, universitaire ; Corinne Le Fustec, directrice fédération d’éducation populaire ; Serge Le Peron, cinéaste ; Alain Le Ray, médecin ; Aziza Lebbar, praticien hospitalier, APHP ; Nicole Lefeuvre, coordination UJFP, militante Collectif Palestine ; Josette Lendi, professeur agrégé d’anglais, retraitée ; Claude Leostic, présidente d’honneur de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine ; Fabienne Lépineux, enseignante ; Alain Lipietz, ancien député européen Les Verts, Villejuif Ecologie ; Christine Loret, artiste chorégraphique ; François Loret, psychologue ; Fatima Lou, retraitée ; Mustapha Majdi, acteur associatif ; Farida Majdoub, maîtresse de conférences retraitée ; Tahar Majdoub, journaliste retraité ; Jean-Claude Mamet, Ensemble ; Gilles Manceron, historien ; Gustave Massiah, économiste, Cedetim ; Mohamed Martah, professeur chercheur en langues et littérature françaises ; Jean-Pierre Martin, psychiatre ; Serge Martin, professeur émérite de littérature contemporaine, université Sorbonne Nouvelle ; Sophie Martin, préparatrice en pharmacie ; Cécile Martinot, graphiste-maquettiste ; Claire Martinot, Sorbonne Université ; Sylvie Martinot, chanteuse, musicienne ; Jacques Mauchien, cadre administratif retraité ; Amina Meddeb, présidente de l’ Association des Amis de Abdelwahab ; Rafik Merniz, coordinateur jeunesse ; Fabienne Messica, Ligue des Droits de l’Homme ; Noufissa Mikou, professeur d’université ; Karem Miled, directeur qualité ; Pr. Delphine Mitanchez, médecin néonatologie, professeur CHRU ; Gordana Mitrovic, enseignante retraitée ; Khadija Mohsen-Finan, universitaire ; Mostafa Mokhtari, président de l’Association des Médecins marocains du Monde, SG APLF, Ass. des Pédiatres de Langue française ; Martine Monier, commission démocratie d’Attac ; René Moreau, secrétaire de la 4ACG ; Jean-Michel Morel, journaliste, membre du comité de rédaction de la revue ORIENTXXI, collaborateur au « Monde diplomatique » ; Michel Morziere, militant des droits humains, président d’honneur de Revivre ; Abdelhakim Moucherif, professeur universitaire ; Alain Mouetaux, syndicaliste Sud PTT, retraité ; Herman Obdeijn, maître de conférences émérite, ancien conseiller culturel des Pays-Bas au Maroc ; Dr Jacques Ohayon, médecin, retraité ; Hervé Ott, formateur consultant ; Abdel Wedoud Ould Cheikh, professeur émérite ; Francette Pacteau, professeure ; Jeanne Pasqualini, assistante sociale ; François Peretti, Ensemble ; Evelyne Perrin, économiste ; Jean-Luc Picard-Bachelarie, Attac ; Jacques Pigaillem, citoyen ; Didier Plagnol, médecin psychiatre ; Raphaël Plante, universitaire retraité ; Fernand Poncet ; Elisabeth Pons, coordinatrice de projet de santé ; Solange Poulet, responsable de structure culturelle ; Jacques Pous, historien ; Renée Prangé, directeur de recherche CNRS, retraitée ; Jil Quillevere, militant anticolonialiste ; Mounaïm Rabahi, artiste ; Roshdi Rashed, directeur de recherche émérite au CNRS, professeur honoraire à l’université de Tokyo ; Danielle Raucoules, membre CN AFPS ; Evelyne Reberg, auteur jeunesse ; Marie-Lys Renault, artiste ; Michel Revel, médecin ; Thomas Ribaillier, ouvrier ; Paul Richard, doctorant ; Pierre Richard, consultant ; François Rippe, vice-président AFPS ; Sophie Roudaut, enseignante ; Hubert Rollinde, militant des droits humains ; Marguerite Rollinde, militante des droits humains ; Alain Ruscio, historien ; Kenza Sahel, avocate et militante des droits humains ; Nicole Sahel, retraitée Education nationale ; Dr Salem Sahli, président de l’association d’éducation relative à l’environnement ; Henri Saint-Jean, docteur en psychologie sociale, ancien président de l’Association démocratique des Français de l’Etranger de Tunisie ; Habib Samrakandi, universitaire, Toulouse ; Patricia Segond-Demurtas, psychologue clinicienne ; Mireille Sève, présidente AFPS 04 (Alpes-de-Haute-Provence) ; Jacques Simon, Education nationale ; Robert Simon, militant écologiste ; Véronique Simon-Loudette, cadre administratif ; Jean-Claude Soufir, maître de conférences des universités, praticien hospitalier ; Stop Précarité ; Jeanne Studer, psychothérapeute ; Anne Syngiser, psychosociologue ; Claude Szatan, militant associatif ; Hafed Tabet, docteur ingénieur génie civil, président de Coup de Soleil Paca ; Catherine Taine-Cheikh, directrice de recherche émérite au CNRS ; Philippe Tancelin, poète-philosophe, professeur émérite ; Jacques Testart, directeur honoraire de recherches à l’Inserm ; Angela Thoinet Alesandri, enseignante ; Jean-Pierre Thorey, ingénieur retraité ; Soulayman Tlili, France Travail Paris 17 ; Jean-Yves Torre, Utopia ; Danièle Touati, directeur de recherches CNRS ; Anne Toulouse-Condeço, médecin retraitée ; Agnès Trullard, bibliothécaire ; Anne Tuallon, présidente de l’AFPS ; Hubert Tullon, professeur retraitée ; Utopia, Réseau Droit Paisani ; Jean-Paul Vabre, éducateur spécialisé, retraité ; Antoine Valbon, administrateur général, ancien directeur général du Grand-Orly Seine Bièvre ; Patrick Vassallo, responsable associatif ; Claire Vergé, pédiatre retraitée ; Jean Louis Vey, président de l’Association France Palestine Solidarité Ardèche, Membre du CN ; Dominique Vidal, journaliste et historien ; Emmanuelle Vila-Meyer, directrice de recherche au CNRS ; François Villeneuve, professeur émérite d’archéologie, université Paris 1 Panthéon Sorbonne ; Dirk Vogeler, musicien ; VPJM (Varois pour la Paix et la Justice en Méditerranée) ; Michel Wilson, militant écologiste ; Yahya Yachaoui, enseignant chercheur retraité ; Nada Yafi, ancienne ambassadrice de France.

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