Les Tunisiens qui avaient élu Béji Caïd Essebsi ne font même plus attention à la crédibilité de ce qu’il fait ni à l’apparence de ce qu’il est : un homme d’Etat… modèle très réduit. Par Yassine Essid
Rétro 2017 : Ces chers disparus de la scène culturelle tunisienne
Omar Khlifi, Mohamed Talbi, Jallel Ben Abdallah, Azzedine Alaïa, Raja Ben Ammar et Noura Borsali. Au cours de l’année 2017 qui s’achève, les Tunisiens ont fait le deuil d’hommes et femmes parmi les plus méritants d’entre eux. Une pensée pour nos chers disparus. Par Chedly Mamoghli *
Transfert de Hamdi Naguez : Désaccord entre l’Etoile et Zamalek
Le transfert de Hamdi Naguez vers Zamalek coince car l’offre du club égyptien à l’Etoile sportive du Sahel (ESS) est jugée en- deçà des attentes.
Bloc-notes : Néo-colonisateurs et néo-colonisés… mentaux
Avec la révolution des technologies actuelles, le développement est entre toutes les mains, irresponsables mêmes. Aussi le sous-développement est-il, désormais mental, largement partagé. Par Farhat Othman *
Club sfaxien : Le défenseur Yassine Meriah attendu à Strasbourg
Yassine Meriah, le stoppeur du Club sportif sfaxien (CSS), se rendra dans les deux prochains jours à Strasbourg, en France.
Omar Khlifi n’est plus : Le cinéma tunisien en deuil
Le réalisateur tunisien Omar Khlifi est décédé, samedi 30 décembre 2017, à l’âge de 83 ans. Il est considéré comme l’un des pionniers du cinéma tunisien.
Football: L’Etoile du Sahel s’intéresse au Ghanéen Nana Poku
Le Ghanéen du club égyptien Masr Al Makassa, Nana Poko, pourrait remplacer le Brésilien Diogo Acosta à l’attaque de l’Etoile du Sahel.
La lutteuse Marwa Amri joint l’utile à l’agréable à Maharashtra
Devenue récemment membre de l’équipe de Veer Maratha, Marwa Amri compte puiser dans la riche tradition du sport de lutte de Maharashtra.
Ahmed Bahri : Un «artiste de l’exil» tunisien nous a quittés
La communauté tunisienne en France vient de perdre l’un de ses piliers, l’artiste, interprète et militant de gauche Ahmed Bahri.
Retour sur le scandale de soutenance d’un mémoire… à huis-clos
Imed Hammami, le ministre par qui le scandale arrive. Pour que l’université publique tunisienne ne soit pas le lieu d’une recherche scientifique parallèle et ne délivre pas de diplômes sur mesure.