18 Juin 2018 | 13:23 ECONOMIE, SOCIETE, Tunisie
Le Centre d’information des Nations unies (UNIC Tunis) et l’Association pour la sauvegarde de l’île de Djerba (Assidje) organisent une rencontre avec les organisations de la société civile à vocation environnementale autour du thème : «Gestion durable des terres en Tunisie : enjeux et opportunités».
La rencontre, organisée dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale de la lutte contre la désertification, aura lieu le vendredi 22 juin 2018 au Centre culturel et touristique méditerranéen, à Djerba.
Parmi les participants, on annonce Michael Hage, coordinateur du bureau sous-régional de la FAO pour l’Afrique du Nord, basé à Tunis, Hamda Aloui, sous-directeur du milieu rural à la direction générale de l’environnement et de la qualité de la vie et point focal national CNULCD, Riadh Béchir, chercheur à l’IRA de Médenine, Saber Ben Mbarek, coordonnateur national du GEF/SGP.
Outre les questions techniques et scientifiques liées aux problématiques de la lutte contre la désertification et la sécheresse et à la préservation des terres agricoles, le débat portera aussi sur le rôle de la société civile dans la lutte contre la dégradation des terres.
I. B. (avec communiqué).
Journée mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse
La Tunisie risque de perdre 50% de ses terres agricoles en 2050
Face à la sécheresse, une stratégie d’adaptation s’impose en Tunisie
Tant que les sudistes n’ont qu’un seul objectif depuis 2011, celui de bannir le sud et d’habiter la capitale Tunis (et cest deja fait par centaines de milliers qui ont migré vers Tunis), il y aura non seulement désertification mais disparition. Qu’est-ce quon a arrend pour les rapatrier quoique c’est difficile puisqu’ils ont acheté, ou construit, de luxueuses demeures à Tunis. Une révolution de massacre de la Tunisie.
Il faut préciser que les mutations des sudistes vers la ville de Tunis ont déjà commencé avec les accords de Ben Ali, espérant d’éventuels populismes, pour muter tous ces gens (incultes et incompétents dans leur majorité) pêle-mêle vers Tunis et ce même dans les administrations (dont celle du mfeignants inistère dz l’intérieur), de la santé (hôpitaux ; pour la forme),et puis et c’est la plus grande catastrophe, comme enseignants ou employés dans les institutions de l’enseignement ; ce qiui a engendré par ailleurs la grande dégradation du niveau culturel en Tunisie depuisau mois décennies.
Et faut-il rappeler que ces catastrophes se sont amplifiees depuis 2011 à ce jour avec les massacres causés par nahdha et ce dans dans tous les domaines.