20 Jan 2020 | 18:42 SOCIETE, Tunisie
Un individu armé d’un couteau a intercepté, aujourd’hui, lundi 20 janvier 2020, à El-Manar (nord-ouest de Tunis), Me Faika Chtiba, qui était accompagnée de sa fille de 8 ans. Ils l’ont violentée et lui ont arraché son sac avant de fuir. L’avocate a été blessée et transportée à l’hôpital et ses confrères menacent de ne plus défendre les auteurs de braquages.
La victime a été transférée dans une clinique privée, et son état a été jugé stable. Sa fille, témoin de cette terrible scène, est encore sous le choc, indiquent ses collègues.
Après cette agression, certains d’entre eux ont menacé de ne plus défendre les braqueurs, tout en déplorant la recrudescence de ces délits.
En réaction, Me Ibrahim Bouderbala, bâtonnier de l’Ordre des avocats a indiqué, sur Mosaïque FM, qu’il comprend la compassion de ses collègues, mais a précisé que leurs menaces n’engagent pas tout le corps, en affirmant que tout inculpé a le droit à un avocat pour sa défense, peu importe la nature ou la gravité du délit …
On notera que le vendredi 17 janvier 2020, une autre femme, garde nationale de son état, a été interceptée, au niveau de Mellasine, par des individus armées, alors qu’elle était en voiture pour se rendre au travail. Ils ont menacé de la tuer et l’ont agressée au couteau, avant de lui voler son sac et de fuir.
Pis encore, jeudi dernier, un braquage s’est transformé en drame : Alaa Khelifi, sergent de l’armée nationale est décédé dans le métro N°3 à Bab El-Khadhra, au centre-ville de Tunis.
Deux adolescents lui ont volé son portable et ont fui. L’agent a sorti la tête de la fenêtre pour tenter de les intercepter et sa tête a percuté un poteau. Il est mort sur le coup.
Y. N.
incroyable ce banditisme, la pauvre femme. Il faut vraiment punir avec uen main de fer. Par contre monsieur les avocats, il faut s’infigner pour tous les citoyens et non pas seulement lorsque une collegue est la victime.
Quand il s’agit d’un des leurs, ils menacent! Et s’ils s’abstenaient dorénavant de défendre l’indéfendable? La société se porterait assurément bien mieux.
La tunisie a eviter je dconseille aux amis etfamille de sy rendre
Coupant quelques mains pendant un certain temps et vous allez voir le résultat
Malgré que je déteste Nahda et Ghannouchi
Rien que dans ma famille, on a été victime de 6 braquages
Oui leur couper les mains.ce n’est pas Ghannouchi le pb c la démocratie c le pb.
Bonsoir j’espère que la dame et sa fille se retabliront vite de cet acte odieux. Pour messieurs les avocats rien que de penser ce qu’ils ont dit fait honte c’est pourquoi je suggère qu’ils aient un entretien avec le syndicat des braqueurs pour signer un pacte interdisant le braquage des gens du métier ce qui engendrerait qu’à chaque fois que messieurs les braqueurs voudraient braquer quelqu’un il faut impérativement qu’ils lui demandant sa carte d’identité. Et vive la révolution fait ce que tu veux tuez volez faites ce que vous voulez empoisonnez nos élèves on vous defendera mais nous toucher nous c’est une ligne Rouge
L’Etat doit redonner les pleins pouvoirs a la police et a la garde nationale comme au temps de Ben Ali.Les policiers doivent avoir toute autorité pour violenté ces agresseurs dans les postes de police et cela de façon officiel et non officieuses. Il n’y a pas que le terrorisme qu’il faut s’occuper mais s’attaquer durement a la délinquance qui peut frapper quotidiennement n’importe qui.
La police doit non seulement toute son autorité perdue mais également lui allouer du matériel que les Razer,les matraques électrique,…et si il arrivait qu’un délinquant décède sous la coups de la police c’est un service rendu a la societé toute entière. Que les victimes inchallah s’en sortent bien.
Oui leur couper les mains.ce n’est pas Ghannouchi le pb c la démocratie c le pb.
Couper les mains, c’est de la sauvagerie ! On laisse ce genre de barbarie aux barbares. Nous, en Tunisie, nous avons des millénaires de civilisation ! Ce n’est pas pour tomber dans la sauvagerie.