Les marques tunisiennes Sasio et Blue Island ont annoncé que leurs équipes se mobilisent dans la lutte contre le coronavirus et fabriqueront désormais des masques de protection destinés aux forces armées.
«Le bureau d’étude a mis au point, hier, un prototype de masque de protection, qui a la particularité d’être lavable et donc réutilisable, et qui a été validé par les professionnels», indique un communiqué publié par les 2 marques.
Suite à quoi, les équipes ont entamé aujourd’hui, mardi 31 mars 2020, la fabrication des masques qui seront offerts aux forces armées (police, armée, garde nationale, douane et protection civile) pour leur garantir une protection optimale, lors de l’exercice de leurs fonctions.
Les ouvriers ont pris toutes les précautions de sécurité, notamment la distance entre les machines, le port des masques, le gel désinfectant, et autres mesures afin de confectionner l’une grande quantité de ces masques réutilisables.
«La production de masques démarre dans les chaînes de production de Blue Island & Sasio. Un grand bravo à ces hommes et ces femmes qui ont bravé la peur et quitté leurs familles pour participer à cet élan de solidarité nationale. Vive la Tunisie», a commenté Riadh Gherab, co-fondateur du groupe Aramys et propriétaire des 2 marques.
Un avis sur “Coronavirus : Des masques de protection pour les forces armées, fabriqués par Blue Island et Sasio (Photos)”
Agatacriz
Il faudrait, dans un deuxième temps les mettre à la disposition des citoyens qui continuent à travailler pour que nous manquions de rien, notamment dans les transports, le secteur de l’alimentation, des services indispensables, les administrations qui restent fonctionnelles, la STEG, la Sonede, les Télécoms, l’ONAS, etc.
Il faudrait, dans un deuxième temps les mettre à la disposition des citoyens qui continuent à travailler pour que nous manquions de rien, notamment dans les transports, le secteur de l’alimentation, des services indispensables, les administrations qui restent fonctionnelles, la STEG, la Sonede, les Télécoms, l’ONAS, etc.