02 Nov 2020 | 16:40 A LA UNE, SOCIETE, TRIBUNE, Tunisie
Les réseaux d’embrigadement (que l’on n’arrive mystérieusement pas à démasquer et à démanteler même après la constitution d’une commission parlementaire à cet effet) et les facilités accordées par des puissances étrangères, en mal de chair à canon, par le biais de réseaux et associations financés de l’étranger, font que la Tunisie est devenue une pépinière de terroristes sanguinaires.
Par Elyes Kasri
Les parents, voisins et amis de Brahim Issaoui, auteur de l’attaque terroriste à La Basilique de Notre Dame de Nice, le 29 octobre 2020, ont exprimé leur surprise d’apprendre que Brahim puisse commettre un acte aussi odieux.
Tout comme les parents et amis de Mohamed Lahaouiej, auteur de l’attaque terroriste de la Promenade des Anglais à Nice (le 14 juillet 2016), d’Anis Amri, auteur de l’attaque terroriste contre le Marché de Noël à Berlin (le 19 décembre 2016) et de Mona Guebla, terroriste kamikaze à la bombe sur l’avenue Habib Bourguiba à Tunis (le 29 octobre 2018), ont été surpris par cette violence que rien ne laissait deviner dans le comportement de leurs proches et amis.
Les experts se sont penchés sur les déterminants de ce passage à l’acte et le déclic sanguinaire qui a caractérisé des centaines de Tunisiens, certains de familles relativement aisées, qui se sont illustrés en Europe, Iraq, Syrie et Libye par une violence exceptionnelle.
Si la pauvreté et l’analphabétisme ne peuvent être retenus comme des facteurs déterminants, l’explication pourrait être ailleurs.
La violence qui caractérise progressivement la société tunisienne, le discours politique des partis et des députés du peuple, nos stades, nos rues et nos routes, en plus des émissions de télévision de même que les prêches enflammés et takfiristes dans de nombreux lieux de culte semblent offrir un terreau favorable à cette dérive sanguinaire.
Les réseaux d’embrigadement (que l’on n’arrive mystérieusement pas à démasquer et démanteler même après la constitution d’une commission parlementaire) et les facilités accordées par des puissances étrangères, en mal de chair a canon, par le biais de réseaux et associations financées de l’étranger, font que la Tunisie est devenue, en plus d’un grand exportateur de djihadistes, une pépinière de terroristes sanguinaires.
Quand on voit que l’enquête sur les réseaux d’embrigadement de jeunes tunisiens sur les théâtres extérieurs de violence et sur l’appareil secret d’Ennahdha piétinent indéfiniment et qu’un ancien ministre de l’Intérieur, Najem Gharsalli, «suspecté de lien avec le baron de la corruption et de la contrebande, Chafik Jarraya, arrêté en 2017 et poursuivi par le tribunal militaire pour atteinte à la sûreté de l’Etat, trahison et intelligence avec une armée étrangère» a pu rester longtemps en cavale, on se rappelle la fameuse tirade de Hamlet: «Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark».
* Ancien ambassadeur.
@ eux 3 ils ont tués 101 victimes innocentes …. ils n’avaient qu’une dizaine d’années quand les islamistes ont pris le pouvoir … une décennie plus tard ces adolescents devenus adultes ont mis a exécution ce que l’idéologie islamiste leur à inculquer comme valeur
MOUROU ,ne l’a-t-il pas dit en aparté: Nous visons leurs enfants
LA FRANCE VEUT FAIRE MAIN BASSE SUR LE SYSTEME SECURITAIRE TUNISIEN COMME AU MAROC
@ 1-1 encore un complotiste , le sujet est grave toute une jeunesse est à la dérive et vous intervenez par esprit francophobe de bas étage
Pauvre, pauvre 1+1 ! Tu prétends comprendre quelque chose aux « systèmes sécuritaires », alors que tu ne parviens même pas à trouver 2 à ton équation à zéro inconnue !
Puisqu’ici ,la pourriture a touché tous les étages. Les meilleurs sont neutralisés
les canassons gambadent.
13 siècles de colonisation arabide et islamerdeuse, voilà la cause, l’UNIQUE CAUSE de notre monstruosité.
Rien, absolument rien de positif ne nous est arrivé des chameliers lubriques et improductifs qu’a déféqué le Hijaz au 7e siècle ; ces gens ne savent que la destruction, la rapine et l’extrême paresse. Rien, absolument rien de positif n’est jamais venu de Turquie, à part la piraterie, la prédation fiscale et le trafic d’esclaves.
Nous avons vécu plus de dix siècles de régression et de clochardisation économique entre les ans 700 et 1850. Les institution religieuses tunisienne n’ont jamais produit que des crétins à l’esprit borné pendant un bon millénaire. L’arabisation forcée de la TN, c’est l’imposition d’un véritable culte de la bêtise, de l’arriération, du sang et de la violence. Ah oui, nous avons récuoéré quelques belles mosquées ? Mais une mosquée, ça produit quoi ? des patates ? des aubergines ? Non, ça ne produit que de « l’opium du peuple » et ça fait vivre des paresseux à demi analphabètes sur le dos des vrais travailleurs.
La langue arabe n’est pas la nôtre, nous sommes ridicules quand nous essayons de l’utiliser, c’est une langue qui ne sert qu’à nous injecter la purge religieuse, c’est un « clystère à religion » ; cette langue fossilisée au temps des mérovingiens est totalement inadaptée à notre monde moderne. D’ailleurs, vous en connaissez, vous, des tunisiens qui lisent un manuel de lave-linge en arabe ? L’unique utilité de cette langue archéologique est de nous fermer le cerveau et de nous forcer à penser comme le veulent les religieux les plus bêtes du monde, CETTE LANGUE EST LE COUTEAU QUI NOUS MAINTIENT DANS LA SOUMISSION INFLIGÉE AU TEMPS DE OKBA…
Décolonisons nos cerveaux de la syphilisation venue d’Arabie, « ou barra ! » ; « Das ist die Lösung ! » La solution finale, en quelque sorte…
Il nous faut :
– Limiter au maximum l’enseignement de cette langue arriératrice à un enseignement religieux privé en fin de semaine pour ceux qui y tiennent.
– Interdire l’exercice du droit et de la justice en arabe ; le français ou l’anglais feront l’affaire, et quelques traducteurs seront là pour expliquer les conclusions aux arriérés. Nous y gagnerons en rigueur et en transparence, car notre justice et nos administrations sont actuellement des foutoirs corrompus, sous le « camouflage arabophone », cache-sexe bien commode pour camoufler le « n’importe-quoi ».
– Fermer toute relation significative avec le Proche-Orient, la Turquie, le Pakistan et autres tas d’ordures, pays qui n’ont pour nous que zéro virgule zéro intérêt économique. C’est simple, nos seuls débouchés sont en Europe et en Afrique…
– Mettre en route un programme de contrôle des naissances « à la chinoise » pour éviter que des pauvresses ne pondent une dizaine de futurs chômeurs-terroristes-délinquants. Bourguiba pensait qu’éduquer les femmes nous sortirait de notre sous-développement.
– etc.
ahhh oui, c’est bien connu et avoue aussi, que pour les tunisiens la faute est toujours à autrui… Bravo !
@Baal Hammon tu vis en Tunisie ?
Voilà un genre de commentaire qui vaut 0 majuscule.
rien n’est vraiment fait ;il faut un engagement total et unanime de toute la classe politique mais halas il n’y a pas de consensus.tout le monde est divisé.Seul le peuple quand il en aura vraiment marre que l’on se moque de lui pourra faire quelque chose.
Ils ne sont pas surpris, regardez la photo diffusée lors de la visite de la maison du terroriste de Nice, les personnes derrière font le signe de victoire V. Le terrorisme est enraciné dans l’esprit de la majorité des tunisiens par nostalgie à une époque dite glorieuse des arabes. Ceci est du à un manque d’éducation et culture. On n’enseigne plus les grands philosophes comme el maaari taha hussein, …. la plupart des enseignants sont devenus des islamistes qui encouragent le massacre des soi-disant infidèles. Une honte pour les arabes et les musulmans.
Rien dans le cerveau. 0
Des gueules a vous faire vomir .
Pays exportateurs de djihadistes , j’aurai préféré qu’on dise de la Tunisie pays exportateurs de produits de grandes technologies.
Bon ,on a un moment à passé avec ces fous fanatiques en Tunisie .
J’espère , je prie pour la prochaine échéance électorale, qu’ils soient rayés de la vie politique,économique et sociale.
On a tous bien entendu ces otages kidnappés par des allahiens pendant plusierus années par des somaliens ou des maliens, et qui a leur liberation, sont devenus musulmans et defendent leurs kidnappeurs.
La tunisie, c’est la meme histoire, c’est pour cela qu’elle produit autant de vrais musulmans (=terroristes).
Le comble , c’est qu’on se pose encore la question ! Alors que depuis 2011 on ne cesse de le constater . Rappelez-vous : » ce sont nos enfants «
Attention Les Dossiers de Anis Amri encore ouvetes ,
comment Anis Amri jeunes de 17 ans quitte’ le prison italien vers l’allemagne ? pas la Tunisie ? manques des contactes avec les consulats ?
quel role joue le spediteur et le chaffeur de camion ?