Le secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, a estimé hier, lundi 4 avril 2022, que «le dialogue» n’aura aucun sens si les partis n’y participent pas. «Reste à savoir quels partis participeront ?», a-t-il poursuivi…
Et d’ajouter que la seule condition à satisfaire, pour répondre à cette question, est de ne pas revenir à «l’avant 24 maudit» (par allusion au 24 juillet 2021, soit la veille des mesures exceptionnelles décidées par le président Kaïs Saïed).
Le syndicaliste a, par ailleurs, précisé, que la rencontre qui a réuni le bureau exécutif de l’UGTT et le président de la République, la semaine dernière, était pour échanger les opinions sur la situation générale du pays et non pas un dialogue.
Cela fait près d’un an et demi que l’UGTT parle du dialogue national sans qu’il n’y en ait eu un.
C. B. Y.
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