Propos irrespectueux et misogynes de Bechr Chebbi envers Sonia Charbti : L’ATFD appelle le parquet et l’Onat à intervenir

L’Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD) a exprimé, ce dimanche 16 janvier 2022, son soutien à Sonia Charbti, victime de propos irrespectueux et misogynes prononcés par le député (gelé) du parti islamiste Ennahdha Bechr Chebbi, avocat de son état, qui prenait part à une manifestation à Paris, organisée contre les mesures du 25 Juillet décidées par le président de la république.

Tunisie vs Mauritanie en live streaming : CAN 2022

La Tunisie affronte aujourd’hui la Mauritanie dans le cadre de la deuxième journée de la Coupe d’Afrique des Nations, dont les trois point sont devenue plus compliqué pour l’équipe nationale avec la découverte de six joueurs positifs au covid : Naïm Sliti, Drager, Haddadi,Jebali, Dylan Bronn et Yoann Touzghar. En direct, 17h heure Tunis au Stade de Limbé.

Tunisie : Pour sortir de son isolement, Kaïs Saïed brise la glace avec l’UGTT

La rencontre d’hier, samedi 15 janvier 2022, entre Kaïs Saïed et Noureddine Taboubi, survenue dans un contexte caractérisé par un grand isolement du président de la république, aussi bien sur le plan intérieur qu’extérieur, traduit une volonté présidentielle de changer d’attitude, d’ouvrir les canaux du dialogue avec les parties qui ne sont pas totalement hermétiques à son projet d’assainissement de la scène nationale et de renforcer le front intérieur qui s’est beaucoup effrité ces derniers temps, en raison de sa rigidité doctrinale et de son refus d’écouter les autres, y compris ses partisans. Par Imed Bahri

Tunisie : Noureddine Bhiri se laisse mourir, les autorités ne fléchissent pas

Face à l’attitude suicidaire de Noureddine Bhiri, le dirigeant du parti islamiste Ennahdha, assigné à résidence depuis le 31 janvier dernier, soupçonné d’implication dans une affaire terroriste, et qui laisse sa santé se détériorer, les autorités tunisiennes ne dérogent pas à leur attitude de fermeté. Car au-delà de la santé de M. Bhiri voire même du sort de son parti, aujourd’hui en perte de vitesse, l’enjeu est la disposition du pouvoir judiciaire à se réformer lui-même ou du pouvoir exécutif à lui imposer les réformes auxquelles ce dernier semble résister, non sans cynisme. Par Imed Bahri

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