Profitant des contestations à Tripoli, Fayez Sarraj se débarrasse de son rival Fathi Bashagha

Le gouvernement d’union nationale (GUN) en Libye, dirigé par Fayez Sarraj, a annoncé vendredi 28 août 2020 dans un communiqué la suspension du ministre de l’Intérieur, Fathi Bashagha, alors qu’il était en visite de travail à Ankara chez le parrain turc, et ce à titre «provisoire» afin de mener une enquête administrative suite à la répression des manifestations qui secouent Tripoli depuis le dimanche 23 août 2020. Par Imed Bahri

Pour l’organisation, en Tunisie, des premières assises du commerce équitable panafricain

Après la réussite de son initiative de commerce équitable en Tunisie avec le projet Souk El Kahina, une coopérative des consommateurs responsables, et l’organisation de la 1ère et de la 2e conférence tunisienne sur le commerce équitable sous l’égide du ministère de l’Agriculture, l’auteur œuvre pour le lancement d’un réseau africain de commerce équitable de tourisme solidaire. Par Tarek Kaouache *

Fritures sur la ligne entre Kaïs Saïed et Hichem Mechichi

Kaïs Saïed aurait refusé, hier, vendredi 28 août 2020, de recevoir Hichem Mechichi. L’information n’a pu être vérifiée auprès d’une source officielle mais elle est confirmée par les récents cafouillages qui traduisent un malaise dans les relations entre le président de la république et le chef de gouvernement désigné, sur un fond de crise généralisée. Par Ridha Kefi

Les compagnies pétrolières opérant dans le sud tunisien saisissent Kaïs Saïed

À l’heure où l’activité pétrolière et gazière dans le Sud de la Tunisie est paralysée depuis le 16 juillet dernier par les ennemis de l’Etat que sont les bandits d’El-Kamour, le président de la République Kaïs Saïed reste indifférent et n’a pas bougé le petit doigt. Excédées, les compagnies pétrolières opérant dans la région lui ont envoyé une lettre le 21 août dernier lui demandant de mettre un terme à cette situation sinon ils vont quitter le pays. Saïed tarde encore à réagir. Par Imed Bahri

Etats-Unis : La tornade Trump en selle

Donald Trump a enfourché son cheval de bataille en reprenant les thèmes populistes ravageurs de sa première campagne présidentielle pour faire barrage à son rival Joe Biden. Il a appelé les électeurs à faire le choix entre le «rêve américain» qu’il affirme incarner, et le «socialisme destructeur» que propose, selon lui, le candidat démocrate. Par Hassen Zenati

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