Étiquette : Béji Caïd Essebsi

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Yassine Ayari : «Pour me faire taire, Kamel Eltaïef m’a même proposé un poste de secrétaire d’Etat»

Le député de la liste indépendante, «Espoir et travail», à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Yassine Ayari, a révélé, hier, 8 décembre 2019, à l’émission «Wahch chécha», sur Attessia TV, des pratiques pour le moins louches, remontant à 2011, de la part du lobbyiste et homme d’affaires controversé, Kamel Eltaïef.

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Hafedh Caïd Essebsi veut relancer Nidaa Tounes : Quel rôle pour Abdelkarim Zbidi ?

En exil volontaire en France depuis août dernier, Hafedh Caïd Essebsi cherche à relancer Nidaa Tounes, un parti qui n’a remporté, aux législatives du 6 octobre 2019, qu’un seul siège au parlement, alors qu’il avait raflé, en 2014, la majorité parlementaire avec 89 députés. Pour cette opération de sauvetage, il aurait chargé Abdelkarim Zbidi de...

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Mais où est passé Abdelkarim Zbidi !?

«Il y a des engagements si sérieux qu’un homme perd son honneur à ne pas les remplir», disait l’écrivain et philosophe suisse Henri-Frédéric Amiel. Il y a aussi des combats inutiles et destructeurs qu’un homme perd son honneur à mener sous les applaudissements imbéciles, intéressés ou manipulateurs. Par Ali Sellami *

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Petit manuel pour survivre au retour d’Ennahdha

Avec le retour du parti islamiste Ennahdha à la tête du pouvoir en Tunisie, les Tunisiens ont besoin d’un manuel pour les aider à survivre dans des conditions extrêmes, pour affronter un milieu hostile, et, surtout, pour survivre à l’inéluctable effondrement économique. Par Yassine Essid

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«Pour discréditer Kaïs Saïed, on s’attaque à quelqu’un qu’il a reçu», déplore Gilbert Naccache, victime d’une campagne de diffamation

Depuis sa rencontre au palais de Carthage, le 1er novembre 2019, avec le président de la république, Kaïs Saïed, Gilbert Naccache, écrivain tunisien, militant et dirigeant historique de la gauche, déplore la campagne de diffamation dont il est victime. Il estime qu’on l’attaque pour discréditer le chef de l’Etat, qui lui a fait l’honneur de...

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Kaïs Saïed ou l’apparence d’un chef d’Etat

Comme pour les soldes d’été, les Tunisiens se sont payés un président d’occasion pour cinq ans avec la mention «ni repris, ni échangé». S’il présentera plus tard des vices cachés, ils n’ont qu’à s’en prendre à eux-mêmes. Seule consolation : selon la constitution, le président Saïed préside mais ne décide rien. Par Yassine Essid

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