Les autorités régionales de Bizerte ont entamé hier, mercredi 10 juillet 2019, une campagne de lutte contre la privatisation illégale des plages de la région. Les agents ont notamment procédé à la destruction et la saisie de parasols et cabanes installées illégalement.
Le gouverneur de Bizerte, Mohaled Gouider, et des dirigeants locaux ont participé à cette campagne, menée par la police municipale et les agents de la sûreté nationale de la région, pour s’assurer que les propriétaires de cabanes ont bien des autorisations et que les exigences des cahiers des charges sont respectées.
Ceux qui ne sont pas autorisés à louer les cabanes et les parasols se sont vu saisir leurs matériels et la page a été rendue aux baigneurs.
A la plage Coucou à Utique, les agents ont saisi 70 cabanes et 30 parasols exploitées illégalement par des restaurateurs. Des embarcations, des aliments, des cigarettes, de l’huile subventionnée, ainsi que des chaises et des tables ont aussi été saisies lors de cette opération.
3 Avis sur “Bizerte : Campagne contre la privatisation illégale des plages”
welles
Comment peut-on autoriser des cabanes à 10 mètres dans l’eau comme c’est le cas à la plage de Sidi Ali Meki(Ghar El melh); des algues vertes commencent à apparaître à cause des dèchhets déversés par ces cabanes. J’ai vu les autorités de l’Etat incapable de détruire ces cabanes. A tous les responsables du tourisme et en premier lieu au ministre René Trabelsi j’adresse un cri d’alarme avant qu’il soit trop tard.
C’est pareil côté Rafraf, des déchets partout et nécessité de passer entre les parasols et les cabanes pour accéder à la mer.. Le littoral étant domaine public, la municipalité aurait du imposer un retrait d’au moins 50 mètres pour l’installation de ces matériels avec l’obligation d’assurer le nettoyage.
Comment peut-on autoriser des cabanes à 10 mètres dans l’eau comme c’est le cas à la plage de Sidi Ali Meki(Ghar El melh); des algues vertes commencent à apparaître à cause des dèchhets déversés par ces cabanes. J’ai vu les autorités de l’Etat incapable de détruire ces cabanes. A tous les responsables du tourisme et en premier lieu au ministre René Trabelsi j’adresse un cri d’alarme avant qu’il soit trop tard.
C’est pareil côté Rafraf, des déchets partout et nécessité de passer entre les parasols et les cabanes pour accéder à la mer.. Le littoral étant domaine public, la municipalité aurait du imposer un retrait d’au moins 50 mètres pour l’installation de ces matériels avec l’obligation d’assurer le nettoyage.
Une goutte dans un océan. Après cette « mise en scène » devant les caméras, un peu de backchich et ils reviendront plus qu’avant.