20 Nov 2020 | 12:14 POLITIQUE, Tunisie
Le député du parti islamiste Ennahdha, Noureddine Bhiri, a exprimé sa solidarité avec l’Union internationale des Oulémas musulmans, tout en appelant les autorités à lever le sit-in organisé par le Parti destourien libre (PDL), organisé depuis lundi dernier, devant le bureau de Tunis de cette organisation financée par le Qatar et qui était présidée jusqu’en 2018 par Youssef Al-Qaradhawi (membre de la confrérie des Frères Musulmans) et depuis par Ahmed Raïssouni.
«Abir Moussi n’est pas au dessus de la loi et le sit-in du PDL doit être levé d’autant que la justice a rejeté la plainte urgente déposée par ce parti pour fermer la branche tunisienne de l’Union», a écrit Noureddine Bhiri hier soir, jeudi 19 novembre 2020, dans un post publié sur son compte Facebook, adressé au président de la république et au chef du gouvernement, ainsi qu’aux ministres de la Justice et de l’Intérieur.
Le député Ennahdha, qui dit également craindre des actes de violence contre les membres de l’Union des Oulémas musulmans, si les autorités ne prennent pas les décisions nécessaires pour lever le sit-in (Sic!), accuse le PDL de fermer les locaux et d’empêcher ainsi les travaux de la session de formation de l’organisation.
«L’impunité n’encourage-t-elle pas Abir Moussi à poursuivre ses mouvements illégaux ? Ma question s’adresse au chef du gouvernement, au président de la république, ainsi qu’aux ministres de la Justice et de l’Intérieur : et si Abir Moussi, qui poursuit son sit-in, faisant fi de la loi, ne s’arrêtait pas là ? Si les locaux de l’organisation étaient saccagés ou brûlés ? Et Si Abir profitait de la clémence de l’Etat pour aller encore plus loin et imposer sa dictature pour occuper les locaux», a-t-il cri bon accuser…
Or, Abir Moussi affirme pour sa part, que son sit-in est pacifique et n’empêche aucunement les travaux, qui se poursuivent à distance en raison de la pandémie du coronavirus, tout en affirmant que ce mouvement de protestation organisé par le parti qu’elle préside se tient à l’extérieur des locaux et est tout à fait légal
Abir Moussi a également affirmé n’avoir jamais demandé à la justice de fermer la branche tunisienne de l’Union internationale des Oulémas musulmans, en précisant que la plainte urgente concernait la suspensions desdits travaux de formation au profit d’imams tunisiens : «Nous maîtrisons la loi et nous savons à qui nous adresser pour faire dissoudre une association. Nous avons adressé, dans ce sens, une correspondance au gouvernement. Mais celui-ci n’a pas répondu, c’est pour cela que nous nous sommes retournés vers la justice pour nous appuyer et demander la suspension de la formation», a-t-elle précisé.
Pour la présidente du PDL, cette formation porte atteinte au «système républicain et les fondements de l’État civil» estimant aussi que cette «organisation alors autorisée par les partis islamistes tunisiens, n’a pas sa place en Tunisie».
Y. N.
Ce gros balourd de Bhiri ! Il ne s’amendera jamais, et chacune de ses interventions le fait s’enfoncer un peu plus profondément dans son ignominie partisane ! Le sit in du PDL est « illégal, et doit être levé » ? Que n’a-t-on entendu une telle condamnation des sit in d’El Kamour et du bassin minier, qui n’étaient pas plus légaux que celui de Moussi, et qui ont eu le grand mérite de mettre ma Tunisie à genoux, et des milliers de chômeurs à bout de souffle !!!
UNION INTERNATIONALE DES EXCISEURS ET POLYGAMES.
C’est la présence de ces charlatans et imposteurs qui est illégale.. Kallou oulama, niveau d’etudes de ces pervers terroristes, karadhawi est un terroriste et un pervers,..
Ce qui me gêne reste la société civile qui ne se joint pas à Abir pour bitter en touche cette organisation terroriste et mettre un point fi al à la présence de ce karadhawi chez nous…
Oh, elle aimerait sûrement… Mais les assistants locaux de cette organisation
criminelle tiennent les rênes, et ne sont pas prêts à lâcher leur Kardhawi de sitôt !
Un véritable malheur…
Ce vendu traitre de B’hiri, n’a pas ouvert sa bouche, quand des voyous islamistes ont pris en otage Kamour … mais il prend la défense des terroristes islamistes de la mouvance de Karadhawi le pervers
En l’espace de 24 h B’hiri a envoyé la police pour lever le sit in de Abir qui a réagit au doigt e à l’oeil …
La Tunisie est l’otage de ce B’hiri et de sa secte …
Les voyous de Kamour ont racketté la Tunisie et plongé l’économie du pays d’une prise d’otage du site de production pendant plus de 3 mois … B’hiri n’a pas envoyé sa police pour l’intérêt du pays ….
On voit bien que ces islamistes n’ont que faire de la Tunisie et de son avenir, ils vendront notre pays et finiront leur vie dans l’opulence au Qatar ou de leur proxénète Turc Merdogan
J’ai du mépris sur toute la classe politique, syndicale et société civile de ce pays … des VENDUS
Tout est clair maintenant, la société civile Tunisienne, les parties politiques, les syndicats sont soit des complices ou ont peur d’affronter les islamistes, et courbent l’échine comme des minables ….
La société civile doit être au côté de Abir Moussi.
cette femme a des co…… c’est malheure qu’elle ne soit pas suivie par le peuple.Un peuple qui regarde beatement un peuple sans avenir qui se fait manipuler et guider.