Par les temps qui courent, les bonnes nouvelles sont plutôt rares, notamment en Tunisie, où sévit une crise qui dure depuis la révolution de 2011. La crise sanitaire, on l’imagine, a aggravé une situation déjà largement hypothéquée. Mais voilà que dans cette grisaille, la Banque mondiale nous fait miroiter une lueur d’espoir.