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Ben Hadj Kouider : «La BNA Bank veut contribuer davantage à la culture et à l’environnement»

En marge des Journées de la Fondation BNA, tenues hier, mercredi 26 février 2020, au siège de la Banque nationale agricole (BNA Bank), à Tunis, le directeur général de l’institution financière, Habib Ben Hadj Kouider, a assuré, à Kapitalis, qu’il s’agissait seulement du premier jalon dans une logue série de «contributions sociétales et environnementales.»

Le président de la fondation BNA et coordinateur des Journées estime que sa banque a, depuis sa fondation, en 1959, régulièrement participé à faire évoluer l’économie tunisienne, et que c’est dans ce cadre qu’entre l’événement d’hier.

«Notre rôle de financer l’économie est classique, car nous l’accomplissons, avec plus ou moins de bonheur, depuis 60 ans. Une période au cours de laquelle, la BNA a contribué, selon moi, de manière importante et efficace à l’économie tunisienne», a-t-il lancé.

M. Ben Hadj Kouider a, par ailleurs, ajouté que la banque a l’intention, aujourd’hui, de continuer cette contribution «à la vie des Tunisiens et à la pensée économique et culturelle en Tunisie», notamment via l’ouverture d’espaces appartenant à des banques.

«Celles-ci [les banques] sont parfois perçues en tant que tours d’ivoire, alors qu’en réalité, ce sont (simplement) des banques servant des citoyens, tout en ayant toujours sur le cœur la volonté et la détermination d’aider leur prochain et leur environnement», développe-t-il.

Revenant sur l’événement du jour, le banquier a assuré qu’à travers cette première édition des Journées de la Fondation BNA, le but était d’apporter «une contribution en matière de pensée, en réunissant la crème en matière de politique monétaire, sélectionnée à travers des académiciens, des régulateurs et des praticiens, et cela a permis d’avoir un débat riche

«C’était le premier jalon, j’espère, d’une longue marche en matière de contribution sociétale et environnementale BNA», a-t-il promis.

«En ce qui concerne la culture, nous allons mettre en place tout un programme visant à agir sur la littérature maghrébine, qu’elle soit écrite en arabe ou en français, et également sur le théâtre régional. A ce effet, on compte gracieusement offrir des espaces aux théâtres régionaux dans lesquels leurs troupes pourront produire», conclue-t-il.

C. B. Y.

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