L’islam politique de Ghannouchi est inspiré par Hassan Al-Bannâ, fondateur des Frères musulmans. Le salafisme, en tant qu’antirationalisme et conservatisme, constitue la plate-forme historique commune à l’islam politique contemporain, y compris celui du mouvement Ennahdha. Par Assâad Jomâa *
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Ghannouchi aux Nahdhaouis : « Nous sommes revenus de loin »
«En 2013, tout le monde était contre Ennahdha. En 2016, tous bannissent l’exclusion et adhèrent au processus d’union nationale», s’est félicité Rached Ghannouchi.
Rached Ghannouchi à Paris : L’appétit d’ogre des Nahdhaouis
Le président d’Ennahdha, Rached Ghannouchi, a célébré, le 22 juin, son 75e anniversaire, à Paris, où il a présenté aux responsables français le «nouveau» visage de son parti.
L’application de la charia demeure l’objectif suprême des Nahdhaouis
Les dirigeants nahdhaouis sont contraints, à leur corps défendant, de jouer le jeu de la démocratie, mais ils n’iront pas trop loin quand même. Par Mohamed Sadok Lejri
Ennahdha, la force tourmentée avance à visage masqué
Les islamistes tunisiens du mouvement Ennahdha ont peut-être changé d’«habits» mais ils resteront toujours des «moines», des cheikhs prédicateurs. Par Moncef Dhambri
Ben Jaâfar s’interroge sur le financement du congrès d’Ennahdha
Ben Jaâfar (ici avec Rached Ghannouchi et Sahbi Atig) a oublié qui l’a fait «roi». Le secrétaire général d’Ettakatol, Mustapha Ben Jaâfar, se pose des questions sur les sources de financement d’Ennahdha et tire la sonnette d’alarme.
Ce jour-là : 9 avril 2012, le lundi noir du printemps tunisien
Pour ne pas oublier ce qui s’est passé le 9 avril 2012, à l’Avenue Bourguiba, à Tunis, le «lundi noir du printemps tunisien» qui a viré à l’hiver islamiste. Par Dr Sami El Mekki *
Il y a 80 ans mourait Tahar Haddad: Le pionnier du féminisme tunisien
La Tunisie a commémoré le 80e anniversaire du décès de Tahar Haddad, le grand penseur progressiste, considéré comme le pionnier du féminisme tunisien.
Tunisie : Réconciliation nationale ou amnistie générale ?
La réconciliation nationale aurait peut-être un sens si elle n’excluait pas les corrompus de l’après révolution du 14 janvier 2011. Par Rachid Barnat