Seulement les 2/5 des Tunisiens s’identifient encore à la classe politique du pays. Indifférence, désertion, désaveu ou… colère. Par Marwan Chahla
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Malgré la guerre menée par Chahed, la corruption progresse en Tunisie
62,3% des Tunisiens estiment que la corruption est en train d’évoluer, indique le baromètre politique de l’Institut Emrhod Consulting, réalisé septembre 2017.
Jour de l’an de l’hégire : Vendredi 22 septembre
Ras El-Am El-Hejri, le nouvel an du calendrier musulman (1439 de l’hégire), sera célébré le vendredi 22 septembre 2017.
Bourse Chevening : Appel à candidature pour les futurs leaders tunisiens
Un appel à candidature a été lancé pour les futurs leaders souhaitant décrocher un master dans les plus prestigieuses universités britanniques grâce à la bourse Chevening.
Tunisie : Sept ans sur les voies de l’inconnu
Quels progrès pouvaient prétendre réaliser des peuples saignés à blanc voici bien 6 ans pour les uns, 7 ans pour nous, Tunisiens? Avec pour seule certitude, une banqueroute annoncée. Par Abdallah Jamoussi *
Fastfood : Le couscous sandwiche, vous connaissez ?
Après la salade de couscous et le taboulé couscous, bienvenue au couscous sandwiche qui fait déjà un tabac en Allemagne.
Quatre Tunisiens parmi les 100 stars arabes du net
En haut : Saber Rebai et Dorra zrrouk / En bas, Hend Sabry et Latifa Arfaoui. Quatre stars tunisiennes se sont classées dans le top 100 des célébrités arabes les plus influentes et les plus populaires sur le net.
Libye : Ces corps de jihadistes qui attendent d’être rapatriés
Les corps de centaines de jihadistes de Daêch, dont beaucoup de Tunisiens ayant trouvé la mort au combat, en Libye, attendent d’être rapatriés…
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Tunisie : La perception de la menace terroriste à son plus bas niveau
La perception de la menace terroriste par les Tunisiens a atteint, en ce mois de juillet 2017, son taux le plus faible : 14,1%.
Plaidoirie pour la réhabilitation du français en Tunisie
Le français n’est plus la langue du colon que l’on s’approprie, elle est devenue la nôtre en tant que Tunisiens, mais les Tunisiens francophones sont une minorité ostracisée. Par Mohamed Sadok Lejri *