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Les hors-la-loi d’El-Kamour exigent encore 1500 emplois dans les sociétés pétrolières

Ayant obtenu les 80 millions de dinars de l’Etat comme budget annuel d’investissement pour le gouvernorat de Tataouine, le porte-parole du sit-in El-Kamour, bloquant la production et la distribution du pétrole depuis le 16 juillet 2020, dans le sud de la Tunisie, Tarek Haddad et ses camarades exigent maintenant 1 500 postes d’emploi dans les sociétés pétrolières de la région.

Face à un État faible et des responsables sans envergure, ce hors-la-loi, une sorte de «Imed Dghij du désert», agitateur politique islamiste au service d’un agenda turco-qatari, sait qu’il peut continuer son racket, tout en maintenant sa casquette à l’envers, dans un geste de provocation envers l’Etat et ses serviteurs avec lesquels la mascarade de la négociation se poursuit.

Et, entre-temps, la production et la distribution de pétrole et de gaz dans la région reste à l’arrêt.

Difficile pour l’Etat tunisien (ou ce qui en reste) de descendre encore plus bas…

I. B.

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