28 Déc 2020 | 12:00 POLITIQUE, Tunisie
Selon le prédicateur Mohamed Hentati, une vraie guerre contre la corruption et l’impunité est actuellement menée en Tunisie par la justice, avec l’appui du pouvoir exécutif, et plus précisément du président de la république, Kaïs Saïed.
Dans une déclaration accordée samedi 26 décembre 2020, à Sabra FM, Hentati a assuré que le président du bloc parlementaire d’Al-Karama, Seifeddine Makhlouf, est actuellement en fuite, en Suisse, étant poursuivi pour une affaire judiciaire, tout en le mettant au défi de prouver le contraire.
Les propos du prédicateur controversé sont évidemment à prendre avec des pincettes, puisque d’une part il n’a pas cité de source claire et que d’autre part, Makhlouf jouit (encore) d’une immunité parlementaire qui devrait le protéger (injustement, certes) d’une éventuelle arrestation.
Rappelons que l’avocat islamiste avait proféré, en février 2019, via une vidéo partagée sur le réseaux sociaux, des menaces contre le procureur de la république du tribunal de Sidi Bouzid pour avoir décidé de fermer le centre coranique de Regueb (où des enfants ont été maltraités et violés), et que, suite à cela, ce procureur a déposé une plainte contre lui.
Hentati a, d’autre part, assuré qu’une quinzaine de politiciens tunisiens sont impliqués dans des affaires judiciaires et qu’ils sont actuellement interdits de voyager, citant, notamment, des proches de Rached Ghannouchi, président du mouvement Ennahdha et de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), à savoir son fils Mouadh Ghannouchi, sa fille Soumaya Ghannouchi et son beau-fils Rafik Abdessalem.
Adel Daâdaâ, Mohamed Ben Salem, Rafik Abdesslam, Chawki Tabib, Sihem Ben Sedrine, Youssef Chahed, Elyes Fakhfakh, Meherzia Labidi, Mehdi Ben Gharbia, Iyed Dahmani et Samir Taïeb seraient également tous interdits de voyager, selon M. Hentati, qui assure avoir «des sources présidentielles et judiciaires».
«J’assume ma responsabilité et je mets au défi ces personnes de porter plainte contre moi. Sihem Ben Sedrine, par exemple, a déjà voulu voyager, dernièrement, mais elle a en été interdite», a-t-il ajouté, précisant que le président Saïed a donné l’ordre au ministre de l’Intérieur, Taoufik Charfeddine, de procéder à l’arrestation de n’importe quelle personne demandée par la justice, y compris les députés et sans passer par la levée de l’immunité parlementaire.
C. B. Y.
…les termes « y compris les députés et sans passer par l’immunité parlementaire », si seulement ils étaient fondés, ce serait véritablement la ‘fin des haricots’ pour un tas de gens criminels qui se pavanent en toute impunité.
Je l’ai déjà dit sur le site Business News (que j’ai quitté du fait de leurs sponsoring récent pour Fadhel Abdelkefi, un corrompu de la scène financiarisé qui est clairement un soutient a Ghanouchi et un affilié US de la révolution double qui bosse contre l’intêret des tunisiens), l’information capitale que doivent connaître l’état tunisien c’est a dire Kais Said et Méchichi, c’est que Trump nous donne un coup de main en ce moment, il a purgé le Pentagone (d’après des lanceurs d’alertes), et il a gracié le général Flynn (ex directeur du renseignement americain, spécialiste des frères musulmans, anti guerre americaine, allié de Bachar Al Assad et patriote americain). Les commandants actuels du Pentagone sont contre les guerres americaines ! contre le terrorisme et spécialiste de la secte frères musulmans (nom stratégique porté par les tueurs de musulmans), et ils sont patriotes et loyale envers leurs pays, ils sont tout a fait le contraire des commandants et respensables qui tenaient le Pentagone jusque la en tant que machine de guerre pour dévaster le monde.
Il faut donc saisir l’occasion, on peut reprendre le pays en ces jours ci pendant que Trump est encore au pouvoir et qu’il peut nous aider et il est entrain de nous aider.
Monsieur le président Kais Said si l’information s’avère être exacte (il faut appeler Donald Trump) vous pouvez arrêter l’ensemble de la scène politique mafieuse et traitre en Tunisie en ces jours ci et ainsi terminer ce cauchemar que nous traversons depuis maintenant 10 ans sous l’appellation fallacieuse de révolution et de démocratie, nous savons que le pays a été attaqué, que la dite démocratie installé contre une dite dictature précédente n’est qu’un moyen d’exercer une guerre ici en Tunisie contre nous et ailleurs (carnage contre la Syrie, Irak, Libye etc), une destruction organisé, un piège s’étalant du moyen orient jusqu’en Afrique et touchant jusqu’a l’ensemble du monde par les vagues d’attentats terroristes dont les tunisiens y ont pris part a grande partie, c’est donc un moyen de crime contre l’humanité, la révolution et sa scène politique mafieuse est un criminel qu’il faut appréhender.
Il n’ya plus a parler de révolution, celle ci est un criminel confirmé, elle a pris son identité de criminel a la date de l’envoi de djihadistes tunisiens en Syrie pour assassiner le peuple syrien, des hommes des femmes et des enfants tués et décapités par centaines de milliers, un carnage sans précédant dans l’histoire humaine, pratiquement une troisième guerre mondiale qui s’est passé en Syrie et la révolution tunisienne y a pris part en envoyant des tueurs vers la Syrie, et ailleurs aussi (Libye, Europe).
La révolution s’est terminé a cette date la, quand elle est devenu un moyen de crime contre l’humanité et un moyen de destruction et d’assujettement de notre pays la Tunisie, la destruction et la guerre contre le pays qui a conduit a son effondrement et a l’anarchie est désormais clair après 10 ans il n’ya plus a la réfuter ! La révolution est un tueur confirmé et il faut l’appréhender, il se manifeste sous forme de partis et d’organisations, ainsi que de figures diverses qui travaillent clairement ou secrètement a livrer le pays a un avenir sombre.
Il faut désormais parler de révolution des lumières comme le dit notre grande patriote, notre jeanne d’arc tunisienne Abir Moussi.
Il faut saisir cette occasion qui se présente, il faut se jeter dessus, vous pouvez dés demain arrêter l’ensemble de la scène politique qui travaille contre le pays et dissoudre leurs partis.
Il faut appeler Donald Trump et discuter de reprendre la Tunisie en notre posession en ces jours ci ! Voir comment les USA de Trump peuvent nous aider pendant qu’il est encore au pouvoir.
Quand Biden prendra le pouvoir ça sera foutu. Il faut le faire donc maintenant.
En tant que citoyen tunisien patriote libre jouissant de tous mes droits, monsieur le Président de la République et monsieur le Chef du Gouvernement je vous encourage et je vous soutient profondement pour sauver le pays, pour reprendre notre pays la Tunisie et appréhender ce tueur masqué qu’est la révolution.
Nos idéaux n’ont pas besoin de révolution, nos idéaux sont surtout une continuité de la Tunisie depuis Carthage jusqu’au 21 ème siècle, nos idéaux et nos valeurs, nos espoirs et nos rêves sont une construction commune de toutes les républiques et civilisations qui ont fondé la Tunisie depuis Carthage, en arrivant jusqu’a l’apport français, en passant par la première république de Bourghiba, deuxième république de Ben Ali, et aujourdhui. C’est ce chemin qui nous a fait, ces civilisations la Carthage + la nation française + la culture européenne + le monde arabe (qui malheureusement a été détruit par le wahhabisme et la nation arabe partenaire de l’OTAN et nous risquons la même chose) + les deux républiques de Bourghiba et Ben Ali + l’actuelle.
Nos idéaux se construiront dans cette continuité et non contre elle, la Tunisie c’est une continuité, une fondation millénaire, elle ne date pas d’aujourdhui ni de 2011, nos villes portent encore leurs noms carthaginois, la culture française nous a doté d’un apport grandement bénéfique si ce n’est salvateur par ses notions de la liberté de la modernité, la culture, la science, le progrè,s et la beauté. Notre multiculturalisme est une force, et notre ouverture sur le monde nous a fait ! Notre chemin c’est la continuité de notre civilisation qui nous a faite et nous a construite, et les deux républiques précédante l’ont construite. A nous de continuer, mais pour cela il faut d’abord virer les tueurs et les mafieux et autre criminel incrusté au sein des mécanismes vitaux du pays.