Diffamation et menaces à l’encontre du directeur de Kapitalis : La CAITE exprime sa solidarité

La Coordination des associations de l’immigration et des Tunisiens à l’étranger (CAITE) a adressé, ce mardi 3 novembre 2020, un message de solidarité à Ridha Kéfi, directeur du journal électronique Kapitalis, ainsi qu’aux autres journalistes «visées par les campagnes d’incitation à la haine», après la diffamation et les menaces exprimés par l’ancien porte-parole du ministère de l’Intérieur, Hichem Meddeb, sur la chaîne Zitouna TV, dimanche dernier.

Meurtre d’Ayoub Ben Fraj dans un poste de police : Le principal accusé écope de 5 ans de prison

Le principal accusé (un agent de la Garde nationale) dans l’affaire de meurtre d’Ayboub Ben Fraj, en février 2019, dans un poste de police à Barraket Essahel (Hammamet), a été condamné à 5 ans de prison pour homicide volontaire. Seulement 5 ans de prison, voilà ce que vaut la vie d’un jeune tunisien victime de violence jusqu’au décès par ceux qui sont censés veiller à sa protection…

Gonflés à bloc par le soumis Mechichi, les islamistes reprennent du poil de la bête

Bien qu’actifs et agressifs durant les précédentes années mais jamais, depuis les années de la «Troïka» (2012-2013), ils ne l’ont autant été. Cette levée de boucliers et ce passage à la vitesse supérieure des islamistes avec leurs différentes composantes (Ennahdha et ses deux appendices Al-Karama et Qalb Tounes) intervient aujourd’hui car avec le très soumis chef de gouvernement Hichem Mechichi, ils se sentent gonflés à bloc et plus puissants que jamais et veulent écraser leurs adversaires. Par Chedly Mamoghli *

Selon Nesrine Laâmari, Ghannouchi applique le principe du deux poids deux mesures avec les députés

Il y a 3 mois, Rached Ghannouchi a failli perdre son poste de président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) après qu’une motion de retrait de confiance a été soumise contre lui. On lui reprochait notamment ses infractions du règlement intérieur du Parlement récurrentes et sa sélectivité envers les différents députés selon leurs appartenances partisanes. Ces pratiques sont loin d’être terminées aujourd’hui si on en croit Nesrine Laâmari.

La reprise économique reste tributaire d’une gestion efficace de la crise sanitaire

L’économie tunisienne, qui est déjà à bout de souffle, s’essoufflera encore davantage si on laisse le coronavirus circuler encore trop longtemps dans le pays. Aussi le gouvernement doit-il se résigner à décréter, le plus tôt possible, un confinement général pour une courte période, afin de casser le rythme d’évolution de l’épidémie et donner ainsi une chance à l’économie de repartir dans quelques semaines. Par Amine Ben Gamra *

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