Le ministère des Affaires culturelles a décidé de mettre un terme au rattachement du journaliste Mohamed Boughalleb, qui rejoint, de facto, son poste à la chaîne de radio nationale, Radio jeunes Tunisie (RJT). C’est ce qu’ont indiquéNajoua Rahoui, directrice générale de Shems Fm, et Hamza Belloumi, présentateur à la radio.
Une mesure qui facilite l’application de la loi interdisant le cumul de postes à la fonction publique et au privé, longtemps contournée par le chroniqueur grâce à ce rattachement.
Par conséquent, M. Boughalleb a dû choisir entre continuer de travailler aux chaînes de télévision et de radio privées, El Hiwar Ettounsi et Shems FM d’une part, et son poste à Radio jeunes d’autre part. Et il a opté pour la deuxième option.
C’est ce qui explique donc son absence, depuis quelques jours, des émissions quotidiennes « Tounes El Yaoum » et « La Matinale« , respectivement sur El Hiwar Ettounsi et Shems FM.
Il reste cependant à espérer que cette loi sera appliquée à tous les cumulards dans tous les secteurs d’activité et qui sont nombreux, profitant du laxisme de l’Etat.
8 Avis sur “Les raisons du départ de Mohamed Boughalleb de Shems FM et d’El Hiwar Ettounsi”
Alex
Est ce que M. BOUGHALLEB , ne savait pas que le cumul des postes entre le public et le privé est strictement interdit? Lui qui nous cassait la tête en dénonçant les hors la loi. lol
Est ce que M. BOUGHALLEB , ne savait pas que le cumul des postes entre le public et le privé est strictement interdit? Lui qui nous cassait la tête en dénonçant les hors la loi. lol
Il y a hors la loi et hors la loi, mouche kif kif ……. il y a des hors la loi qui sauvent l’humanité , Robin des bois, Zorro, Boughaleb, etc ….
Ah bon boughallab sauve l’humanité, et moi je me sauve alors ,je préfère l’enfer que l’Eden de ce Robin ,et de loin hhhh
Qu il dégage de la planète
On est soulagé
C’est surtout que Zorro, et Robin des bois sont des personnages de fiction!
Et les députés qui cumulent autant de fonctions (publiques, privés hybrides) , qu’en pensent-ils
Boughaleb et la corruption, le laxisme et l’impunité : « Jazzar y âdhem âla mregzi ! »
Toujours ce monsieur nous parlent de la loi mais il parait qu’il ne donne pas la vérité où il est tout a fait indefferent