La crise sanitaire induite par la pandémie du coronavirus (Covid-19) a aggravé les carences, déjà criardes, dont souffre la Tunisie, un pays où la démocratie formelle est en passe de devenir synonyme d’incompétence, d’incurie et de course effrénée vers la faillite, sous la conduite d’Ennahdha, un parti soucieux de ses seuls privilèges. Par Salah El-Gharbi...