La non-gouvernance et la corruption ont coûté à la Tunisie 4 points de croissance, selon le rapport national sur la gouvernance.
Cette perte se répartit entre la non-gouvernance (2 points) et la corruption (2 points), a révélé Tarak Bahri, directeur général de la gouvernance à la présidence du gouvernement.
Présentant, hier, à la Kasbah, le premier rapport national sur la gouvernance et la prévention de la corruption, Tarak Bahri a souligné la nécessité d’accélérer la réalisation des réformes structurelles en matières de gouvernance et de lutte contre toutes les formes de la corruption.
Le rapport a révélé que tous les ministères demandent à entrer dans la phase pratique de la gouvernance, à travers le renforcement des mécanismes d’évaluation, a-t-il fait savoir.
Une échelle de gouvernance a montré que 8 ministères sont à égalité en la matière et ont accompli des résultats «très encourageants», a-t-il dit. Les autres sont en train de fournir des efforts à travers les cellules de gouvernance.
A. B. M. (avec Tap)
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