Emmanuel Macron, ancien ministre français de l’Économie et fondateur du mouvement En Marche !, effectuera une visite en Tunisie, les 6 et 7 novembre courant.
Catégorie : POLITIQUE
Chahed limoge le ministre des Affaires religieuses
Le ministre des Affaires religieuses, Abdeljalil Ben Salem, a été limogé, aujourd’hui, pour atteinte aux principes de la diplomatie tunisienne.
A propos de la base de drones dans le sud tunisien
La présence ou non en Tunisie d’une base de lancement de drones américains n’est qu’un déplorable combat d’arrière-garde. Et la souveraineté nationale une thématique illusoire. Par Yassine Essid
Sondage : La présidentielle américaine ne passionne pas les Tunisiens
Selon un sondage réalisé par le cabinet Emrhod Consulting, s’ils devaient voter pour la présidentielle américaine, les Tunisiens seraient 26% à donner leur voix à la Démocrate Hillary Clinton.
Ghannouchi à l’ambassade d’Algérie: «Le Maroc est un pays de droit»
Rached Ghannouchi estime que le Maroc est un pays de droit et qu’il parviendra à calmer rapidement la tension née de la mort tragique du poissonnier d’Al-Hoceima.
Nouveaux ambassadeurs: Soltani à Brasilia et Kahloun à Ouagadougou
Mohamed Hedi Soltani vient d’être nommé ambassadeur de Tunisie à Brasilia et Mohamed Kahloun à Ouagadougou.
Diplomatie : Abdelaziz Rassaa ambassadeur de Tunisie à Paris
L’ancien ministre de l’Industrie et de la Technologie, Abdelaziz Rassaa, est nommé ambassadeur de Tunisie à Paris.
Nomination: Ghazi Gheraïri, ambassadeur de Tunisie à l’Unesco
Le professeur de droit international Ghazi Gheraïri a été nommé, aujourd’hui, représentant permanent de la Tunisie auprès de l’Unesco, à Paris.
Chahed est-il lâché par sa majorité ?
En cas d’échec du gouvernement Chahed, la déroute politique serait générale et engagerait la Tunisie dans une voie de garage. Ceux qui croient pouvoir en profiter se trompent lourdement. Par Salah El-Gharbi
Controverse autour du limogeage du délégué de Manouba
Le délégué de Manouba, Anis Ouji, a été démis de ses fonctions, lundi. Ses détracteurs parlent de «problèmes de communication», d’«abus de pouvoir» et de «corruption».

