Kaïs Saïed en France pour quoi faire ?

Que peut-on sérieusement attendre de la visite de travail de vingt-quatre heures qu’effectue à partir d’aujourd’hui, lundi 22 juin 2020, le président de la république Kaïs Saïed, à Paris, à l’invitation du président français Emmanuel Macron ? A vrai dire pas grand-chose au vu du programme à minima de cette visite. Par Ridha Kéfi

Coronavirus-Tunisie : Une nouvelle contamination (importée), 1020 guérisons sur les 1157 cas dépistés

Le ministère de la Santé a annoncé aujourd’hui, dimanche 21 juin 2020 que sur 1530 tests de dépistage du coronavirus effectués ces dernières 24h, un seul est revenu positif. Il s’agit d’un Tunisien rentré de l’étranger et placé dans un centre d’isolement obligatoire. Le nombre total de contaminations dépistées en Tunisie, depuis le 2 mars dernier, s’élève désormais à 1157.

Ne crions pas victoire : La Covid-19 est partie pour… rester longtemps

La persistance du virus dans le monde après la fin de l’été nous fait craindre un automne et un hiver 2020 difficiles. Mais comme l’économie tunisienne ne supportera pas une nouvelle phase de confinement, la première ayant été très coûteuse, nous devons nous préparer à tous les scénarios. Et le plus probable c’est que nous allons devoir vivre avec le virus, en nous employant à en réduire les dégâts. Par Pr Faouzi Addad *

Mekki : «Il est impossible de mettre en quarantaine obligatoire les 300.000 Tunisiens qui retourneront cet été de l’étranger»

Et si on adoptait, désormais, une stratégie «personnalisable» à l’égard des personnes qui arrivent de l’étranger, dans le cadre de la lutte nationale contre le coronavirus ? C’est, en tout cas, l’idée préconisée par Abdellatif Mekki, ministre de la Santé publique, qui propose de garder la mise en quarantaine obligatoire pour les personnes qui arrivent de pays où la Covid-19 est dangereusement répandue, et de se contenter de l’auto-quarantaine obligatoire pour ceux qui viennent d’endroits ayant réussi à plus ou moins contrôler la pandémie.

Libye-Egypte : Sissi monte au front

Le président égyptien le maréchal Abdelfattah Sissi a menacé d’intervenir militairement en Libye pour chasser les «mercenaires et les intrus» si la ligne Syrte-Joufra, déclarée «ligne rouge», était franchie par les troupes du GEN, à la reconquête de la Cyrénaïque contrôlée par son allié, le maréchal Khalifa Haftar. Par Hassen Zenati

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