Si aucune mesure n’est prise par les autorités tunisiennes, l'impact économique du changement climatique sera important sur l'économie du pays.
Étiquette : déficit hydrique
Tunisie, 5e pays au monde le plus vulnérable au risque de sécheresse
La Tunisie est le 5e pays au monde le plus vulnérable au risque accru de sécheresses et de déficit hydrique.
Tunisie : des solutions scientifiques pour s’adapter à la sécheresse
Les chercheurs tunisiens dans le domaine du changement climatique appelés à trouver des solutions scientifiques pour s’adapter à la sécheresse et résister à ses effets négatifs.
Tunisie : le taux de remplissage des barrages atteint 36,7%
Le taux général de remplissage des barrages en Tunisie a atteint 36,7% au 15 juin 2023.
La Tunisie face à un scénario de soif et de famine
La Tunisie fait face depuis quelques années à la pire crise hydrique de son histoire.
Plaidoyer pour des tribunaux de l’eau en Tunisie
Le tribunal de l'eau, invention arabo-berbère, se réunit encore aujourd'hui tous les jeudis sur le seuil de la Porte des Apôtres de la Cathédrale de Valence, Espagne.
Tunisie : les eaux usées traitées pour réduire le déficit hydrique
Le recours aux eaux usées traitées pourrait permettre à la Tunisie de réduire, entre 20% (fort impact du changement climatique) et 33%, le déficit hydrique d'ici 2050.
Tunisie : le taux de remplissage des barrages atteint 49,5%
La faible pluviométrie enregistrée ces derniers mois en Tunisie ne présage pas une atténuation du déficit hydrique chronique dont souffre notre pays. A la mi-février 2022, les barrages sont encore à moitié pleins et avec les déperditions habituelles (évaporation, fuites, gaspillage de toutes sortes…), le risque de manque d’eau durant l’été prochain reste présent. Une...
L’agriculture hors-sol, la réponse au déficit hydrique chronique
La situation hydrique en Tunisie est de plus en plus difficile. L’agriculture hors-sol permet d’économiser jusqu’à 90% d’eau. C’est une excellente opportunité pour une autosuffisance en légumes et fruits. Les autorités doivent encourager ce secteur «high tech» et très prometteur. Par Ridha Bergaoui *