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‘‘La révolution trahie’’ : Le crochet gauche de Hamma Hammami

‘‘La révolution trahie’’ : Le crochet gauche de Hamma Hammami

Si aujourd’hui on en est de nouveau au pouvoir personnel en Tunisie, c’est bien parce que les forces de gauche ont servi les pouvoirs contre lesquels elles croyaient lutter, à leur corps défendant, au détriment de leur liberté et de leur crédibilité, et que la classe politique a été incapable d’oublier ses intérêts égoïstes pour le...

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La gauche progressiste ne doit pas isoler Moussi

Abir Moussi, massivement plébiscitée par les Tunisiens mais isolée par les élites politiques, même celles appartenant à sa même famille, n’est certainement pas l’«homme providentiel» tant espéré car cette époque est tout simplement révolue. Les pays se gouvernent en équipes et les programmes de gouvernement s’élaborent et s’appliquent par concertation, négociation et consensus. Mais la...

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Abir Moussi, porte-voix de la «résistance» à l’occupant islamiste

Et si Abir Moussi, la présidente du Parti destourien libre (PDL), était aujourd’hui le porte-flambeau de la gauche tunisienne, pratiquement disparue du paysage politique ? Dans le «petit texte provocateur» reproduit ci-dessous, l’auteur développe l’idée selon laquelle l’avocate est devenue, du fait même de cette disparition de la gauche, le «porte-voix de la résistance à...

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Congrès constitutif d’Al Qotb : Quel avenir pour la gauche tunisienne ?

À quelques mois des élections présidentielles et surtout législatives, les partis politiques se préparent activement à ce rendez-vous incontournable dans le paysage politique tunisien. C’est notamment le cas d’Al Qotb, qui se réveille d’un long sommeil et fait acte de présence. Par Cherif Ben Younès Ce parti de centre-gauche, qui fait partie de la coalition...

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Caïd Essebsi, Chebbi et Hammami : Trois politiques atteints du syndrome d’hubris

Le président de la république, Béji Caid Essebsi (BCE), Ahmed Néjib Chebbi, l’éternel candidat à la présidence, et Hamma Hammami, l’éternel opposant, ont pour dénominateur commun de porter des œillères et d’être complètement isolés de la réalité. Ils sont atteints du syndrome d’hubris ou la maladie du pouvoir. Par Khémaies Krimi

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