La Tunisie n’a pas besoin d’un autre «guide» illuminé. Elle a besoin d’un gouvernement de salut national (et non d’unité nationale, exit les politiques !)
Étiquette : Mounir Chebil
De grâce, monsieur Kaïs Saïed, cessez de nous aimer !
Kaïs Saïed ne cesse de dire qu'il aime le peuple, mais quand va-t-il cesser de le châtier?
Tunisie : le FMI n’est pas une fatalité
En quoi le recours à un prêt du FMI n’était aucunement une nécessité pour la Tunisie.
Tunisie – FMI : prouesse gouvernementale ou aveu d’échec collectif ?
Un nouveau crédit du FMI n’est pas un exploit pour la Tunisie, mais un aveu d’échec collectif, car il est synonyme de descente dans l'enfer de l'endettement.
Tunisie : le décollage est pour bientôt !
Il n'est jamais trop tard pour prendre les décisions audacieuses pour l'avenir de la Tunisie, et avec Kaïs Saïed rien ne sera plus comme avant.
Demain, la Tunisie sera meilleure !
Faute de pouvoir améliorer la situation sociale des Tunisiens et, surtout, des Tunisiennes, le président Kaïs Saïed leur a offert une constitution et une loi électorale.
Tunisie : Kaïs Saïed impuissant face à la pénurie de sucre
Kaïs Saïed n’a pas la tête aux problèmes quotidiens des Tunisiens. Il prépare en catimini son code électoral pour les élections législatives prévues pour décembre 2022 et les acrobaties juridiques pour écarter ses concurrents de la course.
Tunisie : les promesses non tenues de Kaïs Saïed
Sous le règne de Kaïs Saïed, le Tunisien lambda vit avec l’espoir de réussir une «harqa», de voir débarquer un Père Noël japonais et de célébrer une nouvelle victoire d’Ons Jabeur.
Tunisie : la constitution de Kaïs Saïed ou la descente dans l’enfer du dogmatisme
Il serait plus facile de formater les cerveaux des jeunes générations et de les fourrer dans le moule de l’Etat islamique gouverné par les «finalités de l’islam» élevées au rand de dogmes juridiques dans le projet de constitution de Kaïs Saïed.
Tunisie : «Maqassid al-islam» ou la constitution salafiste de Kaïs Saïed
Une comparaison avec la constitution de 1959 permet de saisir l’ampleur de la régression à laquelle Kaïs Saïed cherche à soumettre les Tunisien(ne)s.