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Jazz à Carthage répond à Kapitalis

Nous publions ci-dessous le droit de réponse de Farida Ayari, conseillère en communication de Jazz à Carthage 2017, à un l’un de nos articles.

Vous avez posté sur votre site d’information, Kapitalis, le 8 mars 2017 à 20 :01 :28, un article titré «Jazz à Carthage : Divorce entre Oreedoo et Scoop Organisation».

Je voudrais ici rétablir la vérité et vous informer que Scoop Organisation, organisateur de Jazz à Carthage, et Oreedoo se sont séparés sur un accord mutuel après un sponsoring de 11 ans.

A aucun moment, il n’a été question de logo d’Oreedoo plus petit ou disparaissant carrément de l’affiche. Et afin que vous en soyez convaincu, ci-joint le lien à l’affiche de Jazz à Carthage 2016.

Tunisiana, puis Ooredoo ont accompagné Jazz à Carthage depuis sa création en 2005.

Il arrive un moment où les sponsors souhaitent consacrer leurs efforts à d’autres manifestations culturelles et sportives ou d’autres actions. Ils en ont le droit.

Par ailleurs, je constate que vous avez illustré votre article avec une affiche de Jazz à Carthage 2017 vierge de tout sponsor comme si ce 12e épisode était en panne de sponsors. Bien au contraire…

Il y a d’abord, le partenariat avec le ministère des Affaires Culturelles qui anticipe sur la mise en application de la loi sur le partenariat public privé (PPP) récemment adoptée par l’Assemblée des représentants du peuple, car le ministre des Affaires culturelles a estimé que Jazz à Carthage fait désormais partie d’un patrimoine culturel qu’il faut soutenir et encourager.

Ensuite, Jazz à Carthage Episode 12 a trouvé de nombreux soutiens et pas seulement deux comme mentionné dans votre article. L’UBCI est désormais un partenaire à travers la Fondation BNP Paribas qui est engagée depuis plus de 20 ans aux côtés des musiciens de jazz et qui, à travers ses filiales, soutient déjà Tanjazz et Jazzablanca au Maroc, Saint-Louis Jazz au Sénégal et Ouaga Jazz au Burkina-Faso.

Par ailleurs, nous avons, comme tous les ans, le soutien de la compagnie aérienne nationale Tunisair, de l’Office National du Tourisme Tunisien, de Fatales et Top Net.

La liste de nos sponsors serait trop longue à citer, aussi, je joins ici le lien à la liste complète de nos sponsors et partenaires

En vous priant de bien vouloir publier ce droit de réponse, veuillez croire, Monsieur le Directeur, en ma sincère considération.

La rédaction :

Kapitalis, depuis qu’elle existe, a toujours couvert, et plutôt de belle manière, les spectacles donnés dans le cadre de Jazz à Carthage, un festival qui a toujours eu notre respect. Aussi, et au-delà de la polémique, qui n’en est pas une, à propos de la rupture du contrat de sponsoring entre Scoop Organisation et Ooredoo, nous nous félicitons du fait que le festival a de nombreux sponsors et qu’il continue son bonhomme de chemin, et nous continuerons à l’accompagner, car nous aussi, dans Kapitalis, nous aimons le jazz.

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