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ASR : La sécurité routière n’est pas une option mais un droit

Il est temps de mettre fin à l’inaction dans le domaine de la sécurité routière, car ce n’est pas une option mais un droit. Tel est l’intitulé du communiqué de presse du 27 février 2020 de l’association tunisienne des Ambassadeurs de la sécurité routière (ASR).

La 3e Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière tenue à Stockholm, le 19 et 20 février 2020, vise un nouvel objectif mondial de réduction de 50% des décès et des blessures graves sur les routes, d’ici 2030.

La réunion a révélé que chaque année, 1,35 million de personnes meurent sur les routes dans le monde et des millions d’autres sont blessées. Tandis qu’en Tunisie, le nombre des décès de la route est de 1.150 personnes par an.

Afef Ben Ghenia, présidente de l’ASR était présente à la conférence -parmi d’autres organisations concernées par la sécurité routière- et a partagé un appel conjoint aux dirigeants gouvernementaux pour prendre des mesures urgentes et mettre fin à la crise mondiale de la sécurité routière.

L’action conjointe des organisations non gouvernementales (ONG) comporte une exposition, qui souligne le coût tragique de l’inaction dans la sécurité routière, en exposant une pile de chaussures en hommage aux 3.700 personnes tuées dans des accidents de la route chaque jour.

L’ASR a pris part à cette exposition en présentant la campagne #CommitToAct avant la tenue de la conférence, en organisant diverses réunions et en soulignant les engagements du ministère du Transport et celui de l’Education, en Tunisie, qui figurent sur la carte géographique mondiale et sont exposés dans le stand.

A. M.

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