«Une plus grande coopération arabe est nécessaire pour faire face aux catastrophes naturelles, qui deviennent de plus en plus fréquentes dans les pays arabes en raison du changement climatique et de ses répercussions sur ces pays.»
C’est ce qu’ont affirmé les participants à un colloque scientifique intitulé «Urgence, gestion des risques et réponse aux catastrophes naturelles», organisé par la Protection civile tunisienne, en collaboration avec l’Université arabe Naif des sciences de sécurité (Nauss) et l’Organisation internationale de protection civile (OIPC), qui a réuni des experts pour discuter des stratégies de contrôle et des mécanismes efficaces pour gérer les réponses sur le terrain en cas d’urgence, de crise ou de catastrophe naturelle.
La conférence s’est également concentrée sur les méthodes permettant de prévenir et d’atténuer l’impact des catastrophes grâce à des plans et techniques intégrés de prévision et de réponse rapide, afin de sensibiliser les participants aux conséquences du changement climatique et aux nouvelles formes de criminalité environnementale qui influencent les stratégies de protection civile.
Le ministre de l’Intérieur, Khaled Nouri, a déclaré qu’aucun pays, quelles que soient ses capacités, ne peut faire face seul aux crises et aux catastrophes naturelles sans le soutien de ses partenaires internationaux.
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