Le projet tuniso-italien de production de biocarburant à partir de la canne de Provence pose de nombreux problèmes environnementaux et économiques. Par Mohamed Elyes Kchouk *
Catégorie : A LA UNE
Le textile tunisien prépare son retour en force
Le textile tunisien, lui aussi atteint par les soubresauts de la révolution et les retombées des attentats terroristes, ne baisse pas les bras. Au contraire… Par Marwan Chahla
Daech sur le minbar d’une mosquée de Sfax
Le prêche de l’imam de Sfax appelant le gouvernement à faire exécuter tous les homosexuels requiert une réaction vigoureuse de l’Etat, à la hauteur de la gravité de cet appel. Par Farhat Othman
Les 20e Prix Comar d’Or : Le roman tunisien mérite bien une fête
Pour leur 20e édition, les prix littéraires Comar d’Or, récompensant les meilleurs romans tunisiens, ont été fêtés comme attendu. Retour sur événement. Par Zohra Abid
L’UGTT doit se prémunir contre la tentation politique
L’UGTT, qui est censée défendre les intérêts des travailleurs, ne doit pas devenir un instrument entre les mains de personnes sectaires pour réaliser leurs ambitions. Par Salah El-Gharbi
Maison des Arts du Belvédère : El-Maken, ici et partout
Vendredi 21 avril, le vernissage de l’exposition El-Maken, à la Maison des Art du Belvédère, a attiré les regards du public et la lumière des photographes. Par Anouar Hnaïne
Décalé : Qui a tué le chat de Mme Caïd Essebsi ?
Du Palais de Carthage aux quartiers malfamés de la médina de Tunis, enquête sur la mort du premier chat de la république. Par Karim Ben Slimane *
Peut-on encore sauver Radès ?
Siège de la municipalité de Radès. Lettre ouverte à Youssef Chahed, ministre des Affaires locales : «Radès a besoin de vous !» Par Nadya B’chir *
Michel Onfray : «Je n’ai pas de leçons à donner aux Tunisiens»
La rencontre vendredi à la salle 4e Art avec le philosophe français Michel Onfray a été un grand moment de partage où la sincérité l’a disputé à l’audace. Par Fawz Ben Ali
La saga des Caïd Essebsi : Le père, le fils et le parrain
Béji Caïd Essebsi semble s’être résigné à accepter la passion pour le pouvoir de son fils Hafedh et à l’aider à parfaire sa formation politique. Par Yassine Essid