La chanteuse syrienne Mayada El Hanawi renoue avec le public tunisien en se produisant dans le cadre du Festival international de Hammamet.
Catégorie : CULTURE
Ouverture du Festival de Carthage : Une ode à la joie
‘‘Hymne à la joie’’, un spectacle musical international, national et citoyen à la fois, a ouvert, mercredi soir, la 52e édition du Festival international de Carthage. Par Fawz Ben Ali
Ce soir à Hammamet : Dorsaf Hamdani sur les pas de Barbara et Fairouz
La chanteuse Dorsaf Hamdani renouera avec son public, vendredi soir, en se produisant dans le cadre du Festival international de Hammamet.
Avignon : Hommage du Théâtre des Carmes à Ezzeddine Gannoun
Le Théâtre des Carmes rend hommage à feu Ezzeddine Gannoun en marge du Festival d’Avignon par la présentation d’une dernière pièce ‘‘Ses montres à lui…’’.
Ce soir à Hammamet : Spectacle de jazz de Omar El-Ouaer
Le Festival international de Hammamet présente, ce soir, au parking du vieux fort de la ville, le spectacle ‘‘Another perspective’’ de Omar El-Ouaer.
Bizerte : Une vieille prison transformée en centre culturel
La prison de la Médina de Bizerte datant du 18e siècle a été transformée en centre culturel et sera bientôt inaugurée. Au bonheur des habitants.
La pièce égyptienne ‘‘Perdu et retrouvé’’ présentée vendredi à Sousse
(Photo: Bassam Al Zoghby). Le Festival Bab Bhar de Sousse a programmé, pour ce vendredi, la pièce de l’Ecole égyptienne des Arts d’Al-Darb Al-Ahmar (DAAS) ‘‘Perdu et retrouvé’’.
L’écrivain Mahmoud Triki offre ses livres à la Bibliothèque nationale
L’écrivain Mahmoud Triki a offert 1736 livres de sa bibliothèque privée à la Bibliothèque nationale au cours d’une cérémonie organisée, hier soir, à son honneur.
Djerba : Klay BBJ quitte l’hôpital
Klay BBJ, à Djerba, quelques heures avant l’accident. Contrairement à ce qui a été diffusé par des médias, le rappeur Klay BBJ n’est pas dans le coma et ne souffre pas d’hémorragie cérébrale.
‘‘Fenêtre sur…’’ de Raja Ben Ammar: Chronique d’une folie ordinaire
Dans ‘‘Fenêtre sur…’’ **, dernière pièce de théâtre de Raja Ben Ammar, le «moi» de l’individu tangue sous le poids du «surmoi» collectif. Par Ezzedine Ferjani *