Un comité de défense des juges révoqués vient d'être constitué, composé de tous les anciens doyens des avocats, à l’exception de l’ex-doyen, Ibrahim Bouderbala.
Catégorie : POLITIQUE
Tunisie – Libye : «Les nuages ont été dissipés », assure Dbeibah
La Tunisie et la Libye, dont les destins ont toujours été liés, ont beaucoup à gagner à impulser leurs échanges dans tous les domaines.
Tunisie et francophonie: «Je t’aime, moi non plus!»
C’est l’histoire qui a donné à la Tunisie la langue française, imaginer que l’on puisse en changer d’un claquement de doigt est un leurre.
Nouvelle plainte initiée par la ministre de la Justice contre Ghazi Chaouchi : Attayar dénonce et accuse
Nouvelle plainte initiée par la ministre de la Justice contre Ghazi Chaouchi : Attayar dénonce et accuse
Tunisie : Noureddine Taboubi hausse le ton
Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, a annoncé «un discours officiel» mardi prochain, 6 décembre 2022, au cours duquel «les choses seront appelés par leurs noms», affirmant que la centrale syndicale ne craint pas les prisons et qu’elle sera au cœur de la «bataille nationale».
Pour des relations moins inégales entre la Tunisie et l’Algérie
Il est regrettable d’entendre des voix s’élever en Algérie pour assimiler la Tunisie a une wilaya algérienne ou demander à l’Algérie d’absorber la Tunisie.
Tunisie-Imed Ben Halima: «Rached Ghannouchi ne sera jamais incarcéré dans aucune affaire»
«Je répète ce que j’ai déjà dit : Rached Ghannouchi ne sera incarcéré dans aucune affaire», a déclaré l'activiste politique Imed Ben Halima.
Affaire Instalingo : Le recours du ministère public rejeté, Ghannouchi maintenu en liberté
Affaire Instalingo : Le recours du ministère public rejeté, Ghannouchi maintenu en liberté
Tunisie : L’interrogatoire de Me Lazhar Akermi reporté au 15 décembre (Dilou)
Tunisie : L'interrogatoire de Me Lazhar Akermi reporté au 15 décembre (Dilou)
Cherif El Kadhi : «La Tunisie légalise les restrictions à la liberté d’expression sur Internet»
Le décret n° 54 laisse un grand pouvoir discrétionnaire aux juges et aux officiers de police judiciaire pour adapter les faits comme étant portant atteinte à la sécurité publique.