Kamel Ayadi s’exprime sur l’état de santé de Habib Essid

L’ancien ministre Kamel Ayadi est revenu ce samedi 27 février 2021, dans un post publié sur son compte Facebook, sur l’État de santé de l’ancien chef du gouvernement Habib Essid, qui a été victime d’un malaise, hier soir, en direct à la télévision, lors de l’émission politique conjointe entre la chaîne nationale Watania 1 et France 24, « Tunis Paris ».

«Ennahdha veut faire une démonstration de force et va déplacer le conflit politique dans la rue», alerte Nejib Chebbi

Ahmed Nejib Chebbi, membre du conseil de la présidence du parti Al-Amal a mis en garde, ce samedi 27 février 2021, contre la crise politique qui secoue la Tunisie en accusant le parti islamiste Ennahdha d’aggraver la situation. «Par la manifestation organisée aujourd’hui, Ennahdha veut faire une démonstration de force et déplacer le conflit politique dans la rue», a-t-il alerté.

Abir Moussi, porte-voix de la «résistance» à l’occupant islamiste

Et si Abir Moussi, la présidente du Parti destourien libre (PDL), était aujourd’hui le porte-flambeau de la gauche tunisienne, pratiquement disparue du paysage politique ? Dans le «petit texte provocateur» reproduit ci-dessous, l’auteur développe l’idée selon laquelle l’avocate est devenue, du fait même de cette disparition de la gauche, le «porte-voix de la résistance à ce qui semble être un occupant», par allusion au parti islamiste Ennahdha. Par Fathi B’chir *

Ajbouni : En manifestant aujourd’hui, Ennahdha cherche à camoufler ses échecs depuis 10 ans

Commentant la manifestation organisée ce samedi 27 février 2021 par Ennahdha, le député Attayar Hichem Ajbouni estime que le parti islamiste cherche à camoufler ses échecs depuis 10 ans de pouvoir. «Son cheikh (Rached Ghannouchi, Ndlr) a pris le pays en otage, pour maintenir son poste à la tête du parlement et à la tête du mouvement qu’il dirige depuis des dizaines d’années», a–t-il écrit.

Dr. Slimane Ben Slimane : le zaïm oublié

Nous sommes le 25 février 1986, une foule d’un millier de personnes, hommes et femmes infiltrés par quelques agents de la police politique, s’est regroupée au cimetière du Djellaz pour dire adieu au Dr Slimane Ben Slimane. Commentant l’événement, l’historienne Sophie Bessis écrit : «il n’est pas sûr que les jeunes Tunisiens aient en mémoire le nom de l’homme qui s’est éteint au matin du 24 février à plus de 80 ans… le Docteur Slimane Ben Slimane a pourtant consacré la majeure partie de sa vie à défendre son pays et l’idée qu’il s’en faisait». Par Moncef Ben Slimane *

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