Sousse : Victime d’un accident de la route, l’universitaire Ali Lajnef dans le coma

Ali Lajnef, professeur de philosophie à la Faculté des lettres et des sciences humaines de Kairouan, a eu un accident de circulation à Sousse avant-hier, samedi 25 juillet 2020. Il est dans le coma, avec une hémorragie cérébrale, dans le service d’urgence de l’hôpital Farhat Hached de Sousse en attente d’une place dans le service de réanimation !

Zitoun commente la désignation de Mechichi pour la formation du prochain gouvernement

«Je respecte le choix du président de la république, Kaïs Saïed, premier garant du respect de la Constitution, qui a désigné Hichem Mechichi pour la formation du prochain gouvernement», a indiqué, Lotfi Zitoun, le dirigeant Ennahdha, et ancien ministre des Affaires locales, dans un post publié, cet après-midi, dimanche 26 juillet 2020.

L’agitateur Imed Dghij: «Kaïs Saïed veut détruire l’Etat»

L’agitateur pseudo-révolutionnaire Imed Dghij, ancien larbin d’Imed Trabelsi, a pondu une publication Facebook hier soir, samedi 25 juillet 2020, après la désignation du ministre de l’Intérieur, Hichem Mechichi, pour former le prochain gouvernement, dans laquelle il accuse le président de la république Kaïs Saïed, constitutionnaliste de son état, de vouloir détruire l’Etat et ses institutions.

Originaire comme lui de Jendouba, Tebini jubile après la désignation de Mechichi

Le député fantasque Fayçal Tebini jubilait hier soir, samedi 25 juillet 2020, jusqu’à l’exaltation après la désignation de Hichem Mechichi, originaire comme lui de Jendouba, pour former le gouvernement. À ses détracteurs qui l’ont accusé de régionalisme, Tebini, qui n’a pas la langue dans la poche, leur a rétorqué: «Je m’en fous, accusez-moi de régionalisme, l’essentiel j’ai vécu jusqu’au jour où un Jendoubien a été désigné chef de gouvernement». Par Imed Bahri

Profil : Hichem Mechichi, ses forces et ses faiblesses

La désignation du ministre de l’Intérieur Hichem Mechichi pour composer le prochain gouvernement présente autant d’avantages que d’inconvénients pour toutes les parties concernées : le président Kaïs Saïed, le nouveau promu, les partis, dont la plupart se retrouveront de fait dans l’opposition, et, surtout, pour la Tunisie, qui traverse une phase critique, avec une crise à la fois politique, économique et sociale. Par Imed Bahri

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