Femme juive au Mur des lamentations, à Jérusalem.
Pour le judaïsme, la femme est le mal incarné. Impure et exclue de l’humanité, elle est réduite à faire des enfants pour le peuple de son mari et est comptabilisée avec le bétail.
Par Hamda Ouakel *
«Et je trouve la femme plus amère que la mort, parce qu’elle est un traquenard, que son cœur est un piège et que ses bras sont des liens.» Ecclésiaste, 7, 26.
En plus de ce qui précède, pour démontrer le caractère antiféministe du judaïsme on pourrait se contenter de citer la prière du matin où, l’homme dit: «Béni soit Dieu notre Seigneur et le Seigneur de tous les mondes qu’il ne m’ait pas fait femme.» Dans une autre traduction, on trouve: «Sois béni, Seigneur notre Dieu, Roi de l’Univers, qui ne m’a pas fait femme.»
Et la pauvre femme, qui n’a pas la chance et le bonheur d’être du bon sexe, que peut-elle bien dire: «Béni soit le Seigneur qu’il m’ait créée selon sa volonté» ?
La femme est un mal
Face à des esprits partisans, qui ont perdu leur libre arbitre et qui sont prisonniers de leur croyance et de leur appartenance, tous ces arguments peuvent se révéler insuffisants. Mais comme nous ne désespérons pas de les convaincre, du moins de notre bonne foi, continuons à puiser dans leur doctrine et leurs écrits pour leur montrer avec plus de précisions et de détail le mépris de leur religion envers les femmes et tout naturellement aussi le leur.
Voici ce que dit un traité du Talmud (Menakhoth, Sacrifice des farines): «Pour remercier Dieu, tout individu de sexe masculin est tenu de prononcer trois bénédictions: d’avoir fait de lui un israélite, de ne pas l’avoir fait naître femme, de ne pas avoir fait de lui un rustre.» Albert Cohen (poète et écrivain juif et sioniste engagé) cite ce texte qui, dans d’autres écrits prend une autre forme: «Qui n’a fait de moi ni un païen, ni un esclave, ni une femme.»
Vous constatez que si polémique existe, elle porte uniquement sur les mots israélite ou païen d’une part et rustre ou esclave d’autre part. Mais en aucun cas sur le mot femme qui persiste dans les deux versions. Ce juif qui, tous les matins, remercie Dieu de ne pas l’avoir créé femme, que pense-t-il de sa mère? Que pense-t-il de sœur? Que pense-t-il de sa femme? Et enfin que pense-t-il de sa fille? Soyez indulgents envers lui, il n’a fait qu’obéir à Dieu et ne faire que sa volonté.
Ah, le pauvre, imaginez-le après s’être acquitté de sa prière matinale, ses enfants, sa fille et son fils qui accourent vers lui pour le bisou matinal. Avec combien d’amour et de fierté il lève son petit au ciel pour l’embrasser tel un don de Dieu et à avec quel mépris il met la main sur la tête de la petite non pas comme elle le croit un geste d’affection, mais bien pour l’abaisser vers le sol.
Dans la Torah, livre sacré des juifs, la femme est responsable de tous les malheurs de l’humanité. De plus, elle est souvent impure, passant toujours après l’homme, jamais traitée sur un même pied d’égalité que lui. Avant tout, et bien qu’elle en soit exclue de l’humanité puisqu’elle n’est pas un être humain, elle est destinée à faire des enfants pour permettre au peuple de son mari (et non au sien) de se perpétuer. Elle est écartée de toutes les questions, grandes ou petites, n’ayant aucun droit dans le code de Solon (juriste, considéré comme étant le père de la démocratie, masculine uniquement). La femme est comptabilisée avec le bétail, telle une chèvre ou une vache, elle n’est jamais considérée pour elle-même, en tant que personne.
En fait, toute l’histoire humaine est jalonnée de conquêtes, de défaites et de guerres fratricides. Elles sont toutes du fait des hommes qui voulaient s’approprier les biens, les femmes et les territoires de leurs semblables. Attention, à ceux qui m’attendent au contour pour souligner ma méconnaissance de l’histoire en niant que certaines femmes ont aussi gouverné et elles étaient aussi impitoyables que des hommes assoiffés de sang et de gloire. À ceux-là, je dis que ses femmes étaient au service des hommes, elles agissaient par procuration et pour sauvegarder le pouvoir de leurs proches masculins qui, pour une raison ou une autre, n’étaient pas en mesure de l’exercer. Elles n’étaient que des dépositaires provisoires. Elles étaient toutes déchues au moment où le mâle désigné avait recouvré ses droits.
L’homme masculin par sa nature ne peut vivre dans un environnement paisible et égalitaire. Sa vision, si tenté qu’il en a une, du monde est binaire: vainqueur ou vaincu. Il ne peut imaginer sa vie autrement. Dans un lieu et dans un temps donnés, il ne peut y avoir qu’un chef qui sera au-dessus de toutes les lois. Les lois, il les décrète pour soumettre les vaincus. Tout ce que Dieu avait donné aux vaincus, y compris leurs femmes, devient la propriété privée du vainqueur. Peut-on concevoir un seul instant qu’un roi faisant régner la terreur autour de lui puisse accepter qu’un de ses sujets ait une plus jeune et plus jolie femme que la sienne? Impossible. De tout temps, la femme n’était qu’un trophée pour l’homme.
Pour la femme, les choses ont mal commencé. Dans le Jardin d’Éden déjà. Le serpent s’adresse à Ève pour lui faire manger le fruit de l’arbre de la connaissance. Elle cède et incite Adam à faire de même. Alors, sans tarder, Dieu, en embuscade, tous radars à l’affût, la punit immédiatement: «Je vais multiplier tes souffrances et tes grossesses: c’est dans les souffrances que tu enfanteras des fils. Ton élan sera vers ton mari et, lui, il te dominera» (Genèse, III, 16).
Nous remarquons que la grossesse est présentée comme une malédiction, une peine que Dieu inflige aux femmes. Il en va de même pour les souffrances liées à l’accouchement. Un bon juif devra donc proscrire l’anesthésie ainsi que tout autre moyen destiné à alléger la souffrance de la femme lors de l’accouchement puisque ceci n’est que le jugement de Dieu contre lequel personne ne doit s’élever. Dans ce verset, nous ne pouvons pas passer à côté du caractère vengeur et rancunier de ce Dieu qui prône le pardon sans jamais l’appliquer à lui-même. Sa force aveuglante lui a fait perdre le sens de son œuvre et l’a conduit à bafouiller les fondements élémentaires de son éthique au point de créer un être rien que pour le châtier à vie en faisant de lui son souffre-douleur.
Vous comprenez que si tous les parents croyants, ceux qui trouvent une paix intérieure en imitant le Dieu Seigneur et en se conformant à ses commandements, appliquent cette pédagogie divine qui consiste et se résume à sanctionner immédiatement et fort le moindre écart de leur progéniture, la terre ne serait habitée que par des cas psychiatriques graves dus à la torture généralisée! Selon les lois civiles de notre époque, ce Dieu serait traduit en justice pour violence préméditée et serait puni pénalement.
Vous les âmes sensibles, vous allez croire que beaucoup de mal est déjà dit contre la femme. Détrompez-vous. Cette religion, comme d’autres, elle ne s’arrête pas en si bon chemin. Non seulement elle se contente de ressasser le mal, mais elle a l’imagination fertile pour en rajouter et inventer d’autres calomnies et propos diffamatoires à l’égard de la femme.
Pour le judaïsme, la femme est impure quand elle a ses règles et après l’accouchement. Et tout ce qu’elle touche pendant ces périodes devient à son tour impur: «Que s’il y a quelque chose sur la couche ou sur l’objet sur lequel elle était assise, en y touchant on sera impur jusqu’au soir» (Lévitique, XV, 24).
Pour les juifs, si la femme enfante un garçon, la souillure dure sept jours. Cette durée est doublée si elle enfante une fille.
La femme est une sous-catégorie
La femme est abaissée au rang d’esclave de son mari. Celle qui ne donne pas satisfaction peut être répudiée: «Si elle ne marche pas selon ta direction, de ta chair retranche-la!» Ecclésiastique (XXV, 26)
Toujours en s’adressant à l’homme, Dieu lui ordonne de ne pas se mêler aux femmes: «Au milieu des femmes ne t’assieds pas. Car des vêtements sort la teigne, de la femme sort la méchanceté féminine» Ecclésiastique (XLII, 12-13).
Ce que je fais aujourd’hui, parmi vous et entre vous, en vous dispensant ce cours, avec tout le respect que je vous porte et celui que vous me devez, vous en tant qu’apprenantes assidues et moi en tant que modeste formateur, rendra le Dieu miséricordieux très cruel et tyrannique envers moi. Les hommes n’ont pas le droit de partager leur savoir et leur humanité qu’avec les humains. Les femmes ne faisant pas partie de l’humanité sont naturellement exclues de ce noble acte. Et ce faisant, vous les femmes, comme moi l’homme, nous avons transgressé une volonté et une loi divine. Notre sort est scellé. La colère divine s’abattra sur nous. Vivons nos derniers jours dans la crainte de celle-ci et prions le Seigneur pour qu’il atténue nos peines.
Dans la Torah, au mieux, la femme n’est qu’une aide pour son mari. La femme fait selon la volonté de son mari. Le premier point à relever est qu’elle n’est femme que par son mariage. Sinon, quelle est donc son identité? Le Dieu Seigneur ne s’attarde pas sur ce point dérisoire. Pour lui, l’objet ou la créature féminine est en soi insignifiante. Pour lui, le problème est d’une logique implacable: Une partie de l’insignifiant demeure insignifiante. Dieu, le très Grand, ne se penche que sur les problèmes existentiels de l’homme. Certains théologiens hébraïques comprennent cette phrase non pas par son sens premier, mais par: Une femme est celle qui forge la volonté de son mari. On peut alors remarquer que Dieu, dans sa grandeur, n’a pas réussi à trouver une formulation avec des mots simples et justes pour exprimer une idée et une pensée élémentaire et stricte. Ce qui est étonnant pour un Dieu! Ou, alors, que les théologiens ne reculent devant rien pour justifier et essayer de donner un sens à toute sorte d’aberrations? Que l’on prenne ce verset au sens premier ou au sens figuré, il en ressort que la femme n’existe pas pour elle-même et par elle-même.
Dans la deuxième partie de la Genèse, Dieu dit: «Il n’est pas bon que l’homme soit isolé. Je lui ferai une aide digne de lui». Alors, il a créé la femme pour amuser et alléger les souffrances de l’homme en les transférant sur cette dernière. En fait, Dieu n’est rien qu’une baguette magique entre les mains de l’homme. Il suffit à l’homme de demander pour que Dieu s’exécute.
L’héritage
«Tu parleras aux enfants d’Israël, et tu diras: Lorsqu’un homme mourra sans laisser de fils, vous ferez passer son héritage à sa fille. S’il n’a point de fille, vous donnerez son héritage à ses frères. S’il n’a point de frères, vous donnerez son héritage aux frères de son père. S’il n’y a point de frères de son père, vous donnerez son héritage au plus proche parent dans sa famille, et c’est lui qui le possédera. Ce sera pour les enfants d’Israël une loi et un droit, comme l’Éternel l’a ordonné à Moïse.» Nombres 27.8-11
Dans tous les cas, la femme n’hérite nullement de son mari. Quant à la fille, en présence d’un frère aîné ou cadet, elle n’a pas droit à la moindre miette.
Dans la tradition hébraïque, après la mort de son mari, la femme est automatiquement transférée au frère de celui-ci. Pourquoi dites-vous? C’est simple. La femme fait partie du patrimoine du père ou du mari, souvenez-vous du code de Solon. Elle est comptabilisée avec le bétail. Elle n’hérite pas, elle fait partie de l’héritage. Cette loi juive s’appelle le lévirat. Elle est toujours d’actualité de nos jours chez certaines branches du judaïsme. D’autre part, des juifs modernes et plus ou moins ouverts d’esprit, s’élèvent aujourd’hui contre cette pratique. Mais, ils agissent comme s’ils ont un peu honte de cette loi, alors, ils y vont fouiner dans les poubelles d’autres peuples et ethnies pour détourner notre attention en leur attribuant cette coutume. Il est effectivement vrai que le lévirat est pratiqué par d’autres populations. Sauf que, si on analyse de plus près, on trouve que son origine est, sans exception, le judaïsme. Prenons par exemple les pays de l’Afrique où le Lévirat était ou est encore d’actualité. Cette tradition fut introduite par les premiers musulmans qui, à leur tour, se sont inspirés fortement du judaïsme (copier-coller: le prophète Mahomet était un expert dans l’art du plagiat. Le Coran est une version contrefaite de la Torah. Il y aurait plus de différences entre le Talmud de Babylone et celui de la Galilée qu’entre le Coran et la Torah). Finalement, cette loi méprisable est, non seulement, une loi juive, mais aussi, elle était exportée ailleurs par les juifs eux-mêmes.
Rappelez-vous aussi les filles de Loth qui n’ont pas couché avec leur père par aversion, mais bien parce qu’il n’avait pas d’héritier mâle. Seul l’héritier mâle compte. S’il lui arrivait un malheur à ce pauvre Loth, elles seraient perdues ou prises en tant que captives. Elles voulaient lui venir en aide pour engendrer un garçon héritier et à qui elles reviendraient de droit: «Allons! Abreuvons de vin notre père, couchons avec lui et faisons survivre la race par notre père!» L’aînée commence. La cadette profite d’une autre cuite pour lui emboîter le pas. La Genèse (XIX, 30-38). Non seulement qu’à cause des mauvaises lois qui avaient court, personne n’a fauté dans cette histoire parce qu’il fallait un héritier masculin, mais si jamais et au cas où, ce n’est de toute façon pas Loth qui a couché avec ses filles, mais ce sont bien elles qui ont couché avec lui. Et par conséquent, parce qu’elles sont femmes, elles sont les seules fautives.
Eh oui, un petit tour de passe-passe et le tour est joué. Le pauvre homme est violé par ses filles! Vous comme moi, nous savons que certainement les choses ne se sont passées ainsi. Le plus probable est que cet homme soit fou de ne pas avoir un fils ou qu’il soit attiré par la fraîcheur de ses filles en comparaison de l’âge avancé de sa femme, sous l’emprise d’une mauvaise vinasse, n’a pas résisté à les violer tout bonnement.
Le port du voile
Se couvrir la tête est une obligation qui s’impose aux femmes mariées. Elle prend sa source dans la Halakha. Elle s’applique également aux veuves et aux divorcées (voir Igueroth Moché, Evène Ha‘ézèr 1, 57). Cette obligation, est mentionnée dans la Torah: «et elle dit au serviteur: Quel est cet homme, qui marche dans la campagne à notre rencontre? Le serviteur répondit: C’est mon maître. Elle prit son voile et s’en couvrit.» (Berèchith 24, 65) Dans ce cas précis, il s’agit de Rébecca qui était célibataire. Donc en faisant le compte entre femme mariée, veuve, divorcée ou célibataire, elles devaient toutes se couvrir. On trouve aussi dans (Bamidbar 5, 18): «Plaçant alors la femme en présence du Seigneur, le pontife lui découvrira la tête et lui posera sur les mains l’oblation de ressouvenir, qui est l’oblation de jalousie, tandis qu’il tiendra dans sa propre main les eaux amères de la malédiction». Et pour être complet à propos du port du voile, selon la Guemara, «Il est honteux pour les filles d’Israël d’avoir la tête découverte.» (Ketouvoth 72a). Et dire qu’aujourd’hui, certains illettrés et incultes dans les pays occidentaux, font des lois interdisant le port du voile croyant que cela venait exclusivement de l’islam!
La polygamie
Aujourd’hui, dans le langage courant, la polygamie désigne le mariage d’un homme à plusieurs femmes.
Linguistiquement, la polygamie désigne le mariage d’une personne avec plusieurs autres personnes du sexe opposé. Donc, les femmes peuvent aussi être polygames. Pour dissocier la polygamie des hommes de celle des femmes, on doit utiliser les termes suivants:
• Polygynie: Un homme ayant plusieurs femmes.
• Polyandrie: Une femme ayant plusieurs maris.
Les religions monothéistes parlent toutes de polygynie et jamais de polyandrie. Le mot polygamie a pris le sens du mot polygynie. Et donc, on parlera de polygamie.
Le judaïsme, non seulement tolère la polygamie, mais il l’encourage fortement. Les pères du judaïsme, hormis Moïse et Isaac, ils sont tous polygames. D’autre part, par l’obligation du Lévirat, le judaïsme impose la polygamie aux juifs.
Les femmes esclaves sont nommées concubines. C’est-à-dire qu’elles sont au service sexuel de leur maître contre logement, nourriture et vêtements. Si un homme a des rapports sexuels avec une esclave de sa femme, il devra payer une compensation à sa femme. Ce qui revient à dire deux choses:
• Si l’homme est riche, il peut acheter autant d’esclaves qu’il le voudra et avoir plusieurs femmes qui, à leurs tours, elles peuvent acheter des esclaves aussi. Finalement, l’homme riche aura à disposition beaucoup de femmes épouses ou esclaves pour son plaisir, puisqu’il lui suffit de payer soit le prix soit une compensation.
• Non seulement l’homme profite des esclaves de ses femmes, mais aussi, il fait de ces dernières des maquerelles proxénètes puisqu’à chaque fois qu’il passe un agréable moment avec une de leurs esclaves, elles empochent des compensations.
Par contre, si une femme est accusée d’avoir eu des rapports sexuels avec un autre que son mari, qu’il soit esclave ou non, elle sera lapidée jusqu’à ce que mort s’en suit. C’est la seule compensation qui vaille.
Pour enfoncer le clou, et pour terminer en beauté, à la fin de la Bible, on trouve ceci: «C’est de la femme que vient tout le mal. C’est par la femme qu’a commencé le péché. C’est à cause d’elle que nous mourrons tous.» Ecclésiastique (XXV, 24).
N’oublions pas et gardons à l’esprit que Dieu s’adresse toujours aux hommes. Il leur dit que c’est à cause de la femme qu’ils mourront tous. Le tous de la phrase «Nous mourrons tous» se rapporte uniquement aux hommes. La femme étant un mal, sa mort est bénéfique à l’humanité qui se résume aux seuls hommes, au sexe masculin. Toujours concernant ce verset, mais avec un brun d’humour et peut-être de malice, attardons-nous un moment sur la phrase: «Nous mourrons tous».
Vous remarquerez que Dieu ne dit pas «Vous mourrez tous», mais bien «Nous mourrons tous». Alors, la question qui se pose: en se mêlant aux hommes et se considérant un des leurs, Dieu ne s’est-il pas trahi lui-même? Est-ce vraiment un Dieu ou est-ce un imposteur et bonimenteur masculin?
* Tunisien résident en Suisse.
Articles liés:
1/6 : La femme bête noire des religions.
3/6 – La femme dans le christianisme.
4/6 – La femme en islam.
5/6 – La femme dans l’hindouisme.
6/6 – La femme dans le bouddhisme.
Donnez votre avis