10 Août 2018 | 16:46 ECONOMIE, Tunisie
En Tunisie les dossiers de soupçons de corruption touchent plus d’hommes que de femmes, affirme l’Instance nationale de lutte contre la corruption (INLUCC).
C’est ce qu’a indiqué Chawki Tabib, président de l’INLUCC, lors d’une conférence de presse, organisée aujourd’hui, vendredi 10 août 2018, à Tunis, en précisant que 96% des dossiers de corruption présentés, en 2016, concernent des hommes.
Quant à 2017, on dénombre 166 dossiers de suspicion de corruption sur les 142 enregistrés, ajoute Emna Yahyaoui, membre de l’INLUCC, en ajoutant que les alertes sont essentiellement faites par les hommes et qu’une étude plus détaillée sera bientôt disponible.
Notons que cette conférence a été l‘occasion pour l’Instance d’annoncer la création du Réseau des femmes tunisiennes de lutte contre la corruption (RFTLC).
Y. N.
Tunisie : La corruption publique estimée à 2 milliards de dinars par an
Lutte contre la corruption : Tabib déplore le laxisme des ministres
Le pouvoir c’est l’argent et l’argent est le pouvoir l’homme est à la recherche des deux
pour lutter contre la corruption c’est simple et compliqué a la fois
prenant exemple des hommes politiques de fraiche date et regardant leur patrimoine quelles sont leurs sources de revenus ?
Exemple l’affaire Cheraton de notre ex ministre des affaires étrangères Mr Bouchleka ! on est ou l’aide d’un milliard de la par de la chine ?
enfin dieu protège ce pays car il ne mérite pas d’être traité de la sorte