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Catégorie : POLITIQUE

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Tunisie: des partis surfent sur la popularité du président Kaïs Saïed

Plusieurs partis, sans véritable programme ni assise populaire digne de ce nom, se contentent de surfer sur la grande popularité du président Kaïs Saïed et se donnent pour mission de le soutenir et de le défendre contre ses adversaires. D’autant que le locataire du palais de Carthage ne dispose pas, officiellement, de parti auquel s’adosser,...

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Président de l’AP-Otan : «Les législatives en Tunisie doivent être organisées par une autorité électorale indépendante»

«Les élections législatives (en Tunisie, Ndlr) doivent être organisées par une autorité électorale indépendante», a déclaré le président de l’Assemblée parlementaire de l’Otan. Et ce n’est pas là de l’ingérence dans les affaires de notre pays, qui est un allié majeur membre de l’Otan depuis 2015 et un observateur de son assemblée parlementaire depuis 1996.

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Ennahdha exprime «son rejet catégorique» des dates électorales fixées par le président Saïed

Le parti islamiste Ennahdha, qui a participé ce vendredi 17 décembre 2021, à la manifestation avec le collectif «citoyens contre le coup d’État», dirigé notamment par Jawhar Ben Mbarek, a réaffirmé son opposition aux mesures exceptionnelles décidées par le présidents Kaïs Saïed, ainsi que «son rejet catégorique» des dates électorales qu’il a fixées.

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Tunisie : Kaïs Saïed est aussi comptable de ce qu’il a hérité

En s’emparant de tous les pouvoirs, Kaïs Saïed hérite aussi, par conséquent du passif de ses prédécesseurs et en est, désormais, d’autant plus comptable qu’il n’a, non seulement, toujours rien fait pour y remédier mais qu’il l’a, au contraire, aggravé avec l’incertitude causée par des projets politiques farfelus, formidables obstacles à l’instauration d’un climat de confiance propice à...

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Ces «barbants» de la politique qui empoisonnent la vie des Tunisiens

Beaucoup d’entre eux vont descendre aujourd’hui, vendredi 17 décembre 2021, jour de célébration du déclenchement de la révolution du jasmin à Sidi Bouzid, pour défendre la démocratie et dénoncer le «coup d’Etat» de Kaïs Saïed, disent-ils. Ce sont les «barbants» ou les «zéro virgule», comme les appellent leurs compatriotes, par allusion à leur score habituel...

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