L’épisode du bannissement puis de la disparition mystérieuse de Mohamed Ali Hammi, fondateur du premier syndicat tunisien, en 1925, pose le problème récurrent, et pas seulement en Tunisie, des relations compliquées entre politique et syndicalisme. Par Abdallah Jamoussi *
Catégorie : TRIBUNE
La France des insoumis ou l’échec de la démocratie représentative
© « Sud-Ouest ». Et si la démocratie représentative était le plus habile des canulars de tous les temps? Et si elle était en réalité une particratie, qui met le pouvoir entre les mains d’une grappe d’hommes politiques poussés par par un impérieux besoin de domination? Par Ezzeddine Kaboudi *
Tunisie : Quand l’UGTT accélère la descente aux enfers
À l’heure actuelle, même le gouvernement le plus compétent possible et le plus honnête qui existe au monde ne peut pas faire grand-chose pour la Tunisie. Aussi les dirigeants syndicalistes doivent-ils desserrer leur étreinte pour éviter une descente aux enfers… dont personne ne sera épargné. Par Mohamed Sadok Lejri *
La Tunisie ne peut continuer à vivre au-dessus de ses moyens
Il faut mettre au second plan l’augmentation des salaires et de la consommation des ménages. En l’état actuel des déséquilibres, il y a même lieu d’envisager un gel des salaires et des revenus si l’on veut éviter d’avoir à les amputer carrément dans un proche avenir. ** Par Hachemi Alaya *
Le 14 janvier : Propos désabusés en marge d’un si triste anniversaire
Face à la crise, l’instabilité et l’appauvrissement généralisé, les gouvernements qui se sont succédé en Tunisie depuis la révolte du 14 janvier 2011, n’ont montré aucune aptitude à pouvoir sauver le pays d’un tsunami annoncé. Par Mohamed Habib Ladjimi *
Nefissa Djilani : «La haine gangrène la Tunisie depuis le 14 janvier 2011»
En ce jour de célébration du 8e anniversaire de la «révolution» du 14 janvier 2011, Nefissa Djilani Mami, la fille de Hedi Djilani, ancien président de l’Utica, la centrale patronale, sous le règne de Ben Ali, rend hommage, dans un post facebook, à son papa «qui a sacrifié sa vie pour ce pays».
Quelle fête célébrons-nous ce 14 janvier 2019 en Tunisie ?
Dans le post facebook que nous reproduisons ci-dessous, l’auteur brosse un tableau sombre mais très véridique d’une Tunisie à la dérive qui célèbre, aujourd’hui, le 8e anniversaire d’une révolution dont les fruits sont encore amers. Par Dr Mohamed Douagi *
La Tunisie doit reconstruire entièrement son économie et ses finances
Pour l’économiste et expert financier, les indicateurs économiques et financiers de la Tunisie ont atteint des niveaux sans précédent depuis plus de 30 ans. Et la solution réside dans une révision profonde des choix, des politiques et des méthodes de gestion. Par Ezzeddine Saidane *
Noureddine Taboubi, un faible d’esprit qui veut se sentir supérieur
Les menaces lancées par Noureddine Taboubi, secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), ne plaisent pas à tout le monde. Au contraire, elle lui vaut le mépris et même la haine de nombreux Tunisiens et Tunisiennes qui ont peur pour la stabilité de leur pays. Par Mounira Aouadi *
Bloc-notes : Ce simulacre de démocratie que nous fêtons !
Avec le 8e anniversaire du 14 janvier, ce n’est qu’un simulacre de démocratie qu’on fête, une mise à jour mineure d’une dictature préservée. C’est admettre cette réalité qui permet d’espérer en sortir. Par Farhat Othman *