Tunisie – Politique : Temps de mettre le holà?

La tournure prise par les événements depuis le 25 juillet 2021 et la tendance de fond qui en ressort, à savoir le démantèlement progressif des institutions de l’Etat , par le président  de la république Kaïs Saïed, ainsi que l’appropriation arbitraire de ce qui n’est pas encore démantelé, sous couvert d’un état d’exception abusivement prolongé et ce, de manière de moins en moins voilée et de plus en plus hardie, tel un illuminé se sentant investi d’une mission de droit divin qu’il évoque de plus en plus dans ses discours, ne peut indéfiniment repousser les questions essentielles qui se posent,...

Pour un projet national de rebranding de la Tunisie

Le 18 avril 2022, le Journal officiel de la république tunisienne (Jort, n° 165) a rendu public la liste des activités économiques où l’exercice n’est plus soumis à une autorisation préalable. Pourtant, cinq ans en arrière, le 1er avril 2017, les initiateurs de la loi sur l’investissement avaient fait entendre que la liberté d’investir était devenue la règle et que l’autorisation n’était plus qu’une exception, au point d’autoriser la conclusion que l’environnement d’investissement venait d’avoir un vrai coup de pouce. Est-ce vraiment le cas ? Qu’on nous permette d’en douter… Car, dans ce domaine comme dans d’autres, en l’absence de véritables...

Tunisie – Japon : rencontre à l’ENA de Tunis sur la Ticad 8

En préparation de la 8e Conférence internationale de Tokyo pour le développement de l’Afrique (Ticad 8), qui se tiendra à Tunis les 27 et 28 août 2022, une rencontre à ce sujet a été organisée à l’Ecole nationale d’administration (ENA) de Tunis, dans le cadre du suivi de l’initiative de Jica Chair, le mercredi 27 avril 2022. Le débat a porté sur le profit que la Tunisie peut tirer de cette conférence internationale en termes de nouveaux investissements.

Ukraine : de Ghouta à Marioupol, l’histoire est un éternel recommencement

Les Casques blancs – comme ceux déployés à Ghouta en Syrie – pourraient devenir l’instrument dont l’Ukraine a besoin pour atteindre son objectif. Ne pouvant gagner la guerre sur le terrain, les forces en présence étant très déséquilibrées malgré les énormes quantités d’armes qui lui ont été envoyés par les pays occidentaux, elle peut noyer la Russie dans des vagues de sanctions internationales. Et c’est de bonne guerre, comme on dit. Par Ahmad Saleh *

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