Après le discours de Saïed, Ridha Belhadj panique

Ridha Belhadj, frère de Taoufik Belhadj, administrateur judiciaire de la Banque franco-tunisienne (BFT) entre 1989 et 1998, les années de tous les abus ayant conduit à la faillite de cet établissement, et qui s’occupera lui-même de ce dossier quand il dirigera le cabinet du président Béji Caïd Essebsi, entre janvier 2015 et février 2016, est, sans surprise, parmi les principaux détracteurs du président de la république Kaïs Saïed qui n’appartient pas aux réseaux affairistes.

Le président Kaïs Saïed parle, la mafia islamo-affairiste panique

Le discours du président de la république, Kais Saied, hier, dimanche 18 avril 2021, au palais de Carthage, à l’occasion du 65e anniversaire de la création des forces de sécurité intérieure tunisiennes, à provoqué, encore une fois, la panique générale dans la galaxie islamo-affairiste, dérangée au plus haut point par cet empêcheur de tourner en rond. Par Imed Bahri

Dr Charfi s’exprime sur la note limitant la liste des responsables de la Santé pouvant s’adresser aux médias

«La décision du ministre de la Santé est incompréhensible et inacceptable», estime Dr Faouzi Charfi, en réaction à la diffusion d’un rappel de la note de service, par le ministre Faouzi Mehdi, limitant la liste des responsables pouvant s’adresser aux médias, tout en estimant que cette demande «porte atteinte aux libertés individuelles et publiques».

Covid-19 : Catastrophe sanitaire, crise économique et stratégie vaccinale

En Tunisie, nous allons bientôt franchir la barre symbolique des 10.000 morts par la Covid-19, ce qui n’est pas un chiffre négligeable pour un pays de 11 millions d’habitants. Que ces morts soient enterrés comme d’illustres inconnus ou aient droit à un deuil à la hauteur de la souffrance de leurs familles est presque une question très secondaire. Et dire que ne nous sommes en train de voir qu’une petite partie de la catastrophe sanitaire ? Par Dr Faouzi Addad *

La loi des cliniques à l’ARP (III) : consolider financièrement le côté obscur de la médecine libérale ?

Au sein de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), on ne devrait évidemment pas ignorer l’impact financier lié à l’activité des cliniques privées au moment où on s’apprête à légiférer sur la responsabilité médicale et les droits des patients. Par Dr Mounir Hanablia *

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