Affaire Moussi-Makhlouf : L’UGTT et Tahya Tounes condamnent «le banditisme» de la coalition Al-Karama

L’Union générale tunisienne du travail (UGTT) et le parti Tahya Tounes ont fermement condamné la violence de la coalition Al-Karama, après le dernier épisode du feuilleton Seifeddine Makhlouf – Abir Moussi à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), durant lequel le chef du bloc islamiste a enlevé le téléphone de la présidente du Parti destourien libre (PDL), pour l’empêcher de le filmer, avant de l’insulter et de la menacer de «le lui briser la prochaine fois».

Tentative d’empoisonnement du président Saïed : Aucune preuve concrète jusque-là

Selon Mohsen Dali, responsable de l’unité d’information et de communication et substitut du procureur de la république au tribunal de première instance de Tunis, il n’y a, pour le moment, aucune preuve tangible prouvant que le courrier douteux envoyé au président de la république, Kaïs Saïed, contenait une substance toxique.

Bouchlaka prend partie à la campagne contre Saïed : «Le courrier suspect n’est une rumeur»

Après le député Ennahdha Said Ferjani, son collègue islamiste radical Rached Khiari (Al-Karama), c’est au tour de Rafik Abdessalem Bouchlaka, gendre du Guide des Frères musulmans tunisiens, Rached Ghannouchi, de démentir l’information relative à la lettre contenant un produit suspect reçue hier, mercredi 27 janvier 2021, par la présidence de la république.

À propos de Yadh Elloumi, Churchill, le déshonneur et la guerre

Les déboires judiciaires atteignant le président de son parti, Qalb Tounès, auraient dû inciter le député Yadh Elloumi à s’informer davantage sur Winston Churchill, et son opposition résolue à tout compromis avec le fascisme et le nazisme, résumée par cette tirade flamboyante : «À Munich, l’Angleterre avait le choix entre le déshonneur et la guerre; elle a choisi le déshonneur et elle a eu la guerre». Par Dr Mounir Hanablia *

Pour le salafiste Mohamed Affès, «Kaïs Saïed constitue une menace pour la sécurité nationale»

La nébuleuse islamiste (Ennahdha et Al-Karama et leurs zélés serviteurs, de plus en plus nombreux parmi la famille dite «moderniste») poursuit son acharnement sur le président de la république Kaïs Saïed. L’un de ses représentants, le député salafiste Mohamed Affès de la coalition Al-Karama n’est pas en reste.

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