De graves inquiétudes pèsent sur le devenir de l’audiovisuel en Tunisie

L’auteur, universitaire et journaliste, connu pour sa rigueur et sa probité, lance un appel à la mobilisation contre le projet d’amendement du décret-loi 116 du 2 novembre 2011 relatif à la liberté de la communication audiovisuelle, examiné aujourd’hui, mardi 20 octobre 2020, par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP). Par Larbi Chouikha *

Sami Tahri : «Mechichi a trahi tout le monde en retirant le projet de loi gouvernemental relatif à la communication audiovisuelle»

Sami Tahri, secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), est revenu, ce mardi 20 octobre 2020, sur la polémique autour de l’amendement du décret-loi 116 relatif à la communication audiovisuelle, proposé au Parlement par la coalition Al-Karama et soutenu par Ennahdha et Qalb Tounes.

Tunisie -PLF 2021 : on aurait dû remplacer le régime forfaitaire par celui de l’auto-entrepreneur

En Tunisie, toujours, ce sont les contribuables, à travers les impôts les plus injustes et les contributions conjoncturelles décidées presque chaque année, qui doivent supporter seuls le fardeau fiscal pour faire face au Mur de la dette publique, tandis que beaucoup échappent à la fiscalité. Par Amine Ben Gamra *

Amendement du décret 116 : Les journalistes manifestent devant le Parlement et n’excluent pas le recours à une grève

Plusieurs journalistes se sont regroupés, ce matin du mardi 20 octobre 2020, devant l’hémicycle de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), pour protester contre le projet de loi présenté par la coalition Al-Karama, visant à amender le décret-loi 116 relatif à la communication audio-visuelle.

Terrorisme : l’islamisme se prend la tête en France, et la perd en Tunisie

La défense du prophète Mohamed n’est qu’une vieille ruse utilisée par l’islamisme pour accroître sa propre audience électorale, dont on laisse au besoin la responsabilité à autrui, l’important étant qu’on en parle et qu’on en fasse grand bruit, quitte pour certains, habitués à des discours ne prêtant à aucune équivoque, à verser des larmes de crocodiles sur un acte horrible «dont nul ne tirera bénéfice», comme celui de la décapitation en pleine rue d’un enseignant. Par Mounir Hanablia *

error: Contenu protégé !!